Neil Young
Silver & Gold |
Label :
Reprise |
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A l'exception de Harvest Moon, Neil Young aura traversé les années 90 de façon très rock. Et ce toujours accompagné de ses compères du Crazy Horse ou de Pearl Jam pour l'aventure Mirror Ball.
Le nouveau millénaire est donc l'occasion pour le Loner de revenir à un son folk et en solo avec ce Silver & Gold, proche cousin de Hawks & Doves ou d'un Comes A Time.
On a droit à 40 minutes apaisantes, au son de la guitare acoustique et de l'harmonica pour une ballade bucolique dans les grands champs de blé.
"Good To Se You" ouvre le bal. A son écoute, on pense tout de suite aux deux opus sus-cités. Alors vous me direz: où est l'originalité de ce disque? La réponse est que justement il n'y en a pas. Et pourtant on aime écouter ces morceaux folks, voire parfois country avec "Daddy Went Walkin'"
La guitare est parfois accompagnée d'un piano comme sur "Buffalo Springfield Again" où NY se fait nostalgique, ou encore sur "Razor Love", composition de 1987 et qui fait son apparition ici. Comme quoi, même à l'époque Geffen, le canadien n'avait pas perdu sa patte pour l'écriture des ballades folks. "Horseshoe Man" est une magnifique ballade qui si elle avait été écrite quelques années plus tôt aurait pu figurer sur le Unplugged du maître.
Neil Young fait donc une entrée réussie dans les années 2000, certes avec un album pas révolutionnaire mais qui surpasse largement la production post- 11 septembre.
Le nouveau millénaire est donc l'occasion pour le Loner de revenir à un son folk et en solo avec ce Silver & Gold, proche cousin de Hawks & Doves ou d'un Comes A Time.
On a droit à 40 minutes apaisantes, au son de la guitare acoustique et de l'harmonica pour une ballade bucolique dans les grands champs de blé.
"Good To Se You" ouvre le bal. A son écoute, on pense tout de suite aux deux opus sus-cités. Alors vous me direz: où est l'originalité de ce disque? La réponse est que justement il n'y en a pas. Et pourtant on aime écouter ces morceaux folks, voire parfois country avec "Daddy Went Walkin'"
La guitare est parfois accompagnée d'un piano comme sur "Buffalo Springfield Again" où NY se fait nostalgique, ou encore sur "Razor Love", composition de 1987 et qui fait son apparition ici. Comme quoi, même à l'époque Geffen, le canadien n'avait pas perdu sa patte pour l'écriture des ballades folks. "Horseshoe Man" est une magnifique ballade qui si elle avait été écrite quelques années plus tôt aurait pu figurer sur le Unplugged du maître.
Neil Young fait donc une entrée réussie dans les années 2000, certes avec un album pas révolutionnaire mais qui surpasse largement la production post- 11 septembre.
Bon 15/20 | par Smalltown |
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