Melvins
Joe Preston EP |
Label :
Boner |
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Jusqu'où la plaisenterie peut-elle aller ? Il est évident que la bétise humaine n'a pas de limite mais de là à en faire des disques...
Comme les Melvins seront désormais les premiers à nous prendre pour des buses, il fallait bien commencer par de petits EP solos (il faut comprendre : si ça marche on en collerat plein nos albums, et si ça ne marche pas on en collera plein nos albums quand même !). Je passerais l'intention première du groupe amplement évoquée par l'honorable Oneair sur le dirais-je plus abordable Dale Crover EP, pour ne parler que du contenu.
Le premier titre est un jazz format musique d'ascenseur que gouttes de pluie et voix d'enfants investissent. Rassurons-nous ça ne dure pas très longtemps. A noter que cette farce à pour nom "The Eagle Has Landed", connu des bootleggers de Nirvana. Après pourquoi ça... "Bricklebrit" ne dure heureusement pas beaucoup plus longtemps et balance un thème certes diabolique, mais noyé dans une production trop bidouillée pour être une fois encore prit au sérieux.
Reste "Hands first Flower" qui lui, est beaucoup trop long : 23 minutes de guitare saturée et détournée, sans le moindre rythme ou mot.
Au bout du compte, on rit jaune et s'interroge : ce foutage de gueule voulait-il dire 'Fuck the music industry' ou 'Fuck 'em all' ?
Comme les Melvins seront désormais les premiers à nous prendre pour des buses, il fallait bien commencer par de petits EP solos (il faut comprendre : si ça marche on en collerat plein nos albums, et si ça ne marche pas on en collera plein nos albums quand même !). Je passerais l'intention première du groupe amplement évoquée par l'honorable Oneair sur le dirais-je plus abordable Dale Crover EP, pour ne parler que du contenu.
Le premier titre est un jazz format musique d'ascenseur que gouttes de pluie et voix d'enfants investissent. Rassurons-nous ça ne dure pas très longtemps. A noter que cette farce à pour nom "The Eagle Has Landed", connu des bootleggers de Nirvana. Après pourquoi ça... "Bricklebrit" ne dure heureusement pas beaucoup plus longtemps et balance un thème certes diabolique, mais noyé dans une production trop bidouillée pour être une fois encore prit au sérieux.
Reste "Hands first Flower" qui lui, est beaucoup trop long : 23 minutes de guitare saturée et détournée, sans le moindre rythme ou mot.
Au bout du compte, on rit jaune et s'interroge : ce foutage de gueule voulait-il dire 'Fuck the music industry' ou 'Fuck 'em all' ?
Mauvais 5/20 | par X_YoB |
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