Eels
B-Sides & Rarities 1996-2003 |
Label :
Dreamworks |
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Chouette année pour les fans de Eels.
Blinking Lights... n'en finit pas d'envouter, le live Sixteen Tons est excellent, trois concerts sur le sol gaulois, un DVD live est prévu pour début 2006 et, comme si cela ne suffisait pas, voici cette compilation de faces-b et d'inédits.
Un coup d'oeil rapide aux titres des chansons prévient l'auditeur qu'il ne va pas rigoler, jugez par vous-mêmes: "Fucker" (non, pas "fuck her"!), "Bad News", "Dog's Life", "Funeral Parlor", "Sad Foot Sign"...que du rigolo. Du Eels déprimé mais jamais déprimant, tout ce qu'on aime en fait!
Pas radin, Eels nous offre 20 titres, rien ne dépasse les 4 minutes, tous les styles que le groupe a abordé sont présents et rien n'est à jeter. En cela, le disque rappelle... ben Blinking Lights... justement, de par sa diversité et sa grande cohérence.
Il y a du live ("My Beloved Monster"), de bons voire excellents remixs (mention spéciale à "Flyswatter" plus Tim Burton que jamais, Monsieur Reznor, prenez en de la graine), des choses vraiment marrantes ("Everything's gonna be cool this Christmas" autrefois présente sur la B.O d'un navet), des reprises convaincantes ("Can't help falling in love", "Altar boy") et, bien sûr des bluettes écrites depuis le fin fond du spleen, capo à la 5eme case comme la jolie "Her" ou "Fucker" dont les paroles sont en fait une lettre écrite au fucker en question -peut être la meilleure du lot- l'enchanteur "Birdgirl on a Cellphone", le triste "Bad News", l'instrumental "Waltz of the naked Clown" ou encore "Sad Foot Sign".
Que du bon, que du Eels, juste une chose...je me sens obligé de le préciser mais il manque "Open the Door" pour que ce soit vraiment parfait. Mais bon...
Blinking Lights... n'en finit pas d'envouter, le live Sixteen Tons est excellent, trois concerts sur le sol gaulois, un DVD live est prévu pour début 2006 et, comme si cela ne suffisait pas, voici cette compilation de faces-b et d'inédits.
Un coup d'oeil rapide aux titres des chansons prévient l'auditeur qu'il ne va pas rigoler, jugez par vous-mêmes: "Fucker" (non, pas "fuck her"!), "Bad News", "Dog's Life", "Funeral Parlor", "Sad Foot Sign"...que du rigolo. Du Eels déprimé mais jamais déprimant, tout ce qu'on aime en fait!
Pas radin, Eels nous offre 20 titres, rien ne dépasse les 4 minutes, tous les styles que le groupe a abordé sont présents et rien n'est à jeter. En cela, le disque rappelle... ben Blinking Lights... justement, de par sa diversité et sa grande cohérence.
Il y a du live ("My Beloved Monster"), de bons voire excellents remixs (mention spéciale à "Flyswatter" plus Tim Burton que jamais, Monsieur Reznor, prenez en de la graine), des choses vraiment marrantes ("Everything's gonna be cool this Christmas" autrefois présente sur la B.O d'un navet), des reprises convaincantes ("Can't help falling in love", "Altar boy") et, bien sûr des bluettes écrites depuis le fin fond du spleen, capo à la 5eme case comme la jolie "Her" ou "Fucker" dont les paroles sont en fait une lettre écrite au fucker en question -peut être la meilleure du lot- l'enchanteur "Birdgirl on a Cellphone", le triste "Bad News", l'instrumental "Waltz of the naked Clown" ou encore "Sad Foot Sign".
Que du bon, que du Eels, juste une chose...je me sens obligé de le préciser mais il manque "Open the Door" pour que ce soit vraiment parfait. Mais bon...
Très bon 16/20 | par Thinwhitejs |
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