The Kills
No Wow |
Label :
Domino |
||||
Depuis une semaine, le nouvel album de The Kills résonne dans mes oreilles. Je l'attendais avec impatience, et il ne m'a pas déçu...
Le ton général du disque se démarque cependant de leur première galette: Keep On Your Mean Side. Si leur son sexy est toujours présent sur quelques pistes ("The Good Ones"), le groupe explore néanmoins d'autres directions, pour la plupart plus "sordides". Outre les blues tranquilles et doux de "Dead Road 7" et "Ticketman" (superbe piano !!), on retrouve des morceaux hyper noisy. Les mélodies ramassées sont relevées par des riffs mutilant l'oreille. C'est ainsi que l'énergie de "Your Love Is A Deserter" vous explose à la gueule. Le solo malsain de "I Hate The Way You Love" torture les sens, et on ne redemande que ça ! Il suffit d'attendre "Sweet Cloud" pour se délecter à nouveau d'un son saturé à mort !
Quant au chant de VV, il atteint des sommets sur "No Wow". Seulement accompagnée d'une boîte à rythme, son chant hargneux donne des frissons. Reste la perle de l'album "Murdermile": VV scande son texte, soutenue par la guitare lourde de Hotel, qui murmure entre les couplets. Leur association fonctionne comme jamais sur ce titre !
Bref, un album construit autour d'une recette simple mais d'une incroyable variété. Les compositions d'une rare qualité achèvent de rendre No Wow indispensable, et d'asseoir la réputation des Kills, groupe désormais indispensable !
Le ton général du disque se démarque cependant de leur première galette: Keep On Your Mean Side. Si leur son sexy est toujours présent sur quelques pistes ("The Good Ones"), le groupe explore néanmoins d'autres directions, pour la plupart plus "sordides". Outre les blues tranquilles et doux de "Dead Road 7" et "Ticketman" (superbe piano !!), on retrouve des morceaux hyper noisy. Les mélodies ramassées sont relevées par des riffs mutilant l'oreille. C'est ainsi que l'énergie de "Your Love Is A Deserter" vous explose à la gueule. Le solo malsain de "I Hate The Way You Love" torture les sens, et on ne redemande que ça ! Il suffit d'attendre "Sweet Cloud" pour se délecter à nouveau d'un son saturé à mort !
Quant au chant de VV, il atteint des sommets sur "No Wow". Seulement accompagnée d'une boîte à rythme, son chant hargneux donne des frissons. Reste la perle de l'album "Murdermile": VV scande son texte, soutenue par la guitare lourde de Hotel, qui murmure entre les couplets. Leur association fonctionne comme jamais sur ce titre !
Bref, un album construit autour d'une recette simple mais d'une incroyable variété. Les compositions d'une rare qualité achèvent de rendre No Wow indispensable, et d'asseoir la réputation des Kills, groupe désormais indispensable !
Excellent ! 18/20 | par Joe the lion |
Posté le 07 mars 2005 à 13 h 51 |
Bonne nouvelle, les Kills ont franchi avec classe le test du deuxième album.
"No Wow" est moins répétitif que "Keep On Your Mean Side", sans pour autant trop s'en éloigner.
"No Wow" est un introduction nickel avec un vrai tour de force de VV. Un peu genre "Cat Claw" mais sans les guitares électriques.
Ensuite, "Desertor" fait intervenir des sons électos presques disco qui offrent une super énergie avec les guitares ajoutées.
"Dead Road 7" mélange ballade et rock à vif. Super.
"Good Ones" revient au côté répétitif du groupe. Avec succès, on garde le refrain une heure en tête.
"I Hate The Way You Love", en deux temps, est un pur morceaux de rock, très sexe. Aux origines du genre.
Les morceaux suivant sont également excellent avec notamment une belle ballade "Rodeo Town" et un dernier morceaux plus blues très efficace "Ticket Man".
Ca c'est du rock ! Un grand groupe.
"No Wow" est moins répétitif que "Keep On Your Mean Side", sans pour autant trop s'en éloigner.
"No Wow" est un introduction nickel avec un vrai tour de force de VV. Un peu genre "Cat Claw" mais sans les guitares électriques.
Ensuite, "Desertor" fait intervenir des sons électos presques disco qui offrent une super énergie avec les guitares ajoutées.
"Dead Road 7" mélange ballade et rock à vif. Super.
"Good Ones" revient au côté répétitif du groupe. Avec succès, on garde le refrain une heure en tête.
"I Hate The Way You Love", en deux temps, est un pur morceaux de rock, très sexe. Aux origines du genre.
Les morceaux suivant sont également excellent avec notamment une belle ballade "Rodeo Town" et un dernier morceaux plus blues très efficace "Ticket Man".
Ca c'est du rock ! Un grand groupe.
Excellent ! 18/20
Posté le 09 juin 2005 à 18 h 57 |
Un duo mixte avec un nom en "the"... On a déjà vu ça quelque part et pourtant, pas la moindre marque d' "Elephant" ou de White dans les environs. Tant mieux, je méprise les copies. The Kills est différent, plus sexuel, plus rock'n'roll et il faut avouer que jeans moulants, bottes boueuses, clopes et cheveux ébouriffés lui vont bien.
Original : The Kills voyage dans le passé de ses membres. On sent l'influence punky qui a alimentée leur jeunesse et le petit côté disco qu' Hotel affectionne tant.
J'adore des chansons comme "The Good Ones" et "No Wow", pour leur superbe association de guitares chaudes et de beats automatiques.
L'album a des jolies marques de transpiration qui sentent bon le travail et la flamme artistique. L'osmose des deux passionnés est assez unique.Il suffit d'écouter " No Wow" et de lire quelques unes de leurs interviews pour se rendre compte de leur rapport fusionnel.
Bref, The Kills a de quoi faire des envieux : deux moitiés qui font du si bon rock, c'est pas courant.
Original : The Kills voyage dans le passé de ses membres. On sent l'influence punky qui a alimentée leur jeunesse et le petit côté disco qu' Hotel affectionne tant.
J'adore des chansons comme "The Good Ones" et "No Wow", pour leur superbe association de guitares chaudes et de beats automatiques.
L'album a des jolies marques de transpiration qui sentent bon le travail et la flamme artistique. L'osmose des deux passionnés est assez unique.Il suffit d'écouter " No Wow" et de lire quelques unes de leurs interviews pour se rendre compte de leur rapport fusionnel.
Bref, The Kills a de quoi faire des envieux : deux moitiés qui font du si bon rock, c'est pas courant.
Très bon 16/20
Posté le 23 août 2005 à 21 h 14 |
Parmi les multiples formats rock, le duo reste pour l'instant un genre confidentiel - malgré l'énorme succès des White Stripes. Pourtant cette formule offre des possibilités abrasives et hypnotiques hors norme, il suffit d'avoir vu un rappel de PJ Harvey seule avec son guitariste pour s'en convaincre. C'est dans la mesure où il arpente avec bonheur les parties arides de ce territoire fascinant du duo rock que ce disque est essentiel.
Plutôt loin des Stripes (sauf peut-être sur le dernier morceau, "Ticket Man"), c'est bien du côté de Rid Of Me qu'il faut chercher l'ascendance de cet album. Au flammes déjà bleuâtres de PJ Harvey, VV et Hotel enlèvent ce qui empêchait la combustion d'être tout à fait complète, rajoutent une touche glacée, les boîtes à rythme - il est vrai souvent doublées d'un bon vieux palm mute - et obtiennent une furieuse white heat en 11 morceaux étonnamment excitants.
Alors oui, il y a 12 ans from Polly Jean's "Highway '61" to the Kills' "Dead Road 7"; oui, les passages un peu plus pop de la deuxième moitié du disque n'ont pas le charme dangereux des diamants bruts "No Wow", "Love Is A Deserter", "Hate The Way You Love" ou encore "Murdermile" ; mais que ce disque est bon...
Un régal pour tous ceux qui ont rêvé que la sublime chanson "Hardly Wait" (PJ Harvey, toujours, mais sur 4-Track Demos) pouvait durer 40 minutes, cet album (très travaillé, il serait naïf de penser qu'on sort des riffs pareils et un son aussi énorme directement de la poche de son pantalon en cuir) est tout simplement l'un des incontournables de l'année.
Plutôt loin des Stripes (sauf peut-être sur le dernier morceau, "Ticket Man"), c'est bien du côté de Rid Of Me qu'il faut chercher l'ascendance de cet album. Au flammes déjà bleuâtres de PJ Harvey, VV et Hotel enlèvent ce qui empêchait la combustion d'être tout à fait complète, rajoutent une touche glacée, les boîtes à rythme - il est vrai souvent doublées d'un bon vieux palm mute - et obtiennent une furieuse white heat en 11 morceaux étonnamment excitants.
Alors oui, il y a 12 ans from Polly Jean's "Highway '61" to the Kills' "Dead Road 7"; oui, les passages un peu plus pop de la deuxième moitié du disque n'ont pas le charme dangereux des diamants bruts "No Wow", "Love Is A Deserter", "Hate The Way You Love" ou encore "Murdermile" ; mais que ce disque est bon...
Un régal pour tous ceux qui ont rêvé que la sublime chanson "Hardly Wait" (PJ Harvey, toujours, mais sur 4-Track Demos) pouvait durer 40 minutes, cet album (très travaillé, il serait naïf de penser qu'on sort des riffs pareils et un son aussi énorme directement de la poche de son pantalon en cuir) est tout simplement l'un des incontournables de l'année.
Très bon 16/20
Posté le 14 septembre 2005 à 20 h 00 |
En 2003, The Kills avait surpris beaucoup de monde avec Keep On Your Mean Side. La recette était simple et pourtant diablement efficace: un duo très rock et sexy (VV et Hotel), un son brut de décoffrage, et des chansons imparables et minimalistes.
Deux ans plus tard, arrive ce No Wow que l'on espère être la confirmation des promesses entrevues sur le 1er album. Et dès les premières secondes de "No Wow", on retrouve l'ambiance lourde et minimaliste, marque de fabrique de ce duo. Une boîte à rythme discrète, une guitare grondante et explosive, et la voix sexy et survoltée de VV. Après un bref interlude, "Love Is A Deserter" rompt avec les rythmiques plombées du groupe pour un morceau enlévé et superbe avec son riff de guitare obsédant et le chant énergique du duo. Confirmation que le groupe propose aujourd'hui des ambiances plus subtiles que sur son premier album. L'inquiétant "Dead Road 7" semble ramper au gré du chant sombre de VV, la guitare de Hotel jamais bien loin (et toujours aussi sale) semblant l'attendre au coin de cette route mal éclairée pour surgir. "The Good Ones", en écho à "Love Is A Deserter", est un morceau direct, et tout de suite addictif. Arrive ensuite le double "I Hate The Way You Love". Dans sa première partie, la voix sexy de VV et la guitare tour à tour plombée et énergique de Hotel font merveille, alors que sur la courte deuxième partie, c'est un tempo lent et plaintif qui s'éteint peu à peu. "At The Back Of The Shell", son rythme presque électro et ses fragments de guitare nous rappelle que ce groupe est bien des années 2000 et que si leur son si particulier (sorte de mix entre un blues maltraité et la sécheresse des premiers PJ Harvey) semble sorti des 90's, leurs compos n'ont pas que des influences purement rock, ce que l'utilisation presque chronique des boîtes à rythmes semble confirmer. "Sweet Cloud" est ainsi une preuve de plus que si la formule du duo peut sembler être une limite artistique très contraignante, le groupe, à l'image des White Stripes, sait composer une musique urgente, où la spontanéité semble prévaloir sur toutes autres considérations qui peuvent souvent ruiner de bons morceaux (une production trop léchée, des effets de manche inutiles, des structures trop complexes...). "Rodeo Town", son rythme tranquille, ses paroles troublantes ("If I'm so evil, why are you satisfied ?") calme un peu le jeu, change un peu l'ambiance avant le menaçant "Murdermile" où les voix du duo tour à tour possédées (VV) et étouffées (Hotel) déclament des paroles inquiétantes. Pour finir, un piano et la voix pour une fois apparement apaisée de VV, dévoile une facette étonnante du groupe qui laisse envisager de nouvelles perspectives pour le futur.
Car si le son est bien resté sale, brut et noisy comme sur le premier album, et la voix de VV toujours aussi sexy et agressive, les ambiances sont nettement plus variées sur ce disque, et on passe sans problème de morceaux enlevés et addictifs à des rythmes plus lourds et des morceaux plus malsains. Assurément LE groupe en "The" le plus rock, le plus noir, le plus sexy, the good ones!
Deux ans plus tard, arrive ce No Wow que l'on espère être la confirmation des promesses entrevues sur le 1er album. Et dès les premières secondes de "No Wow", on retrouve l'ambiance lourde et minimaliste, marque de fabrique de ce duo. Une boîte à rythme discrète, une guitare grondante et explosive, et la voix sexy et survoltée de VV. Après un bref interlude, "Love Is A Deserter" rompt avec les rythmiques plombées du groupe pour un morceau enlévé et superbe avec son riff de guitare obsédant et le chant énergique du duo. Confirmation que le groupe propose aujourd'hui des ambiances plus subtiles que sur son premier album. L'inquiétant "Dead Road 7" semble ramper au gré du chant sombre de VV, la guitare de Hotel jamais bien loin (et toujours aussi sale) semblant l'attendre au coin de cette route mal éclairée pour surgir. "The Good Ones", en écho à "Love Is A Deserter", est un morceau direct, et tout de suite addictif. Arrive ensuite le double "I Hate The Way You Love". Dans sa première partie, la voix sexy de VV et la guitare tour à tour plombée et énergique de Hotel font merveille, alors que sur la courte deuxième partie, c'est un tempo lent et plaintif qui s'éteint peu à peu. "At The Back Of The Shell", son rythme presque électro et ses fragments de guitare nous rappelle que ce groupe est bien des années 2000 et que si leur son si particulier (sorte de mix entre un blues maltraité et la sécheresse des premiers PJ Harvey) semble sorti des 90's, leurs compos n'ont pas que des influences purement rock, ce que l'utilisation presque chronique des boîtes à rythmes semble confirmer. "Sweet Cloud" est ainsi une preuve de plus que si la formule du duo peut sembler être une limite artistique très contraignante, le groupe, à l'image des White Stripes, sait composer une musique urgente, où la spontanéité semble prévaloir sur toutes autres considérations qui peuvent souvent ruiner de bons morceaux (une production trop léchée, des effets de manche inutiles, des structures trop complexes...). "Rodeo Town", son rythme tranquille, ses paroles troublantes ("If I'm so evil, why are you satisfied ?") calme un peu le jeu, change un peu l'ambiance avant le menaçant "Murdermile" où les voix du duo tour à tour possédées (VV) et étouffées (Hotel) déclament des paroles inquiétantes. Pour finir, un piano et la voix pour une fois apparement apaisée de VV, dévoile une facette étonnante du groupe qui laisse envisager de nouvelles perspectives pour le futur.
Car si le son est bien resté sale, brut et noisy comme sur le premier album, et la voix de VV toujours aussi sexy et agressive, les ambiances sont nettement plus variées sur ce disque, et on passe sans problème de morceaux enlevés et addictifs à des rythmes plus lourds et des morceaux plus malsains. Assurément LE groupe en "The" le plus rock, le plus noir, le plus sexy, the good ones!
Excellent ! 18/20
Posté le 12 février 2006 à 01 h 03 |
Figure de proue de la nouvelle scène garage-rock, le retour au minimalisme musical des 70's, The Kills forment en effet un duo de guitares, sur un fond de beat.
Deux ans donc après la sortie du tonitruant Keep On Your Mean Side que l'on pourrait traduire par 'Garde ton côté obscur', Hotel et VV ont bien suivi leur propre directive avec ce second album No Wow.
Si le premier album était basé sur le son brut et violent, l'instantanéité couplé à la puissance, No Wow se présente de prime abord comme plus travaillé, moins spontané, et plus profond. L'ouverture sur le titre éponyme voit se poser les guitares grinçantes et énergiques de Hotel sur un beat à faire plier les genoux, laissant filer quelques instants pour laisser placer le grain de voix insinuant et plaintif de la somptueuse VV. Le propos se tient bien.
The Kills maîtrisent parfaitement leur sujet en assénant quelques coups rudes à son auditeur par le biais du thème éternel de l'amour ("Love Is A Deserter" et "I Hate The Way You Love 1 & 2") sur des mélodies entraînantes hypnotiques assimilé à la voix entêtante de VV, ponctués de rifs nets et tranchants de Hotel. Tout est basé sur cette entente, cette mise en scène, cette théâtralisation, cette opposition, cette guitare parlante et cette voix vive.
D'autant plus surprenant, l'assimilation post-punk des Kills à leur musique, l'introduction de l'aspect dansant à leur mélodies abrupt, cassante et forte. Ce qui donne des raisons de plus à VV de se tortiller, comme emprise de spasmes lors de morceaux mêlant un beat piqué à Bronsky Beat à un duo des deux Kills ("The Good Ones") ou à un beat prenant faisant contrepoids à la guitare lourde mené crescendo tambour battant par VV entrecoupé de dualités pop ("Murdermile"). Le très électrique "At The Back Of The Shell" et intimiste "Dead Road 7" viennent s'ajouter au tableau.
"Ticket Man" conclut cet album, retour au calme, à la réalité, à la création, à la liberté simple.
Deux ans donc après la sortie du tonitruant Keep On Your Mean Side que l'on pourrait traduire par 'Garde ton côté obscur', Hotel et VV ont bien suivi leur propre directive avec ce second album No Wow.
Si le premier album était basé sur le son brut et violent, l'instantanéité couplé à la puissance, No Wow se présente de prime abord comme plus travaillé, moins spontané, et plus profond. L'ouverture sur le titre éponyme voit se poser les guitares grinçantes et énergiques de Hotel sur un beat à faire plier les genoux, laissant filer quelques instants pour laisser placer le grain de voix insinuant et plaintif de la somptueuse VV. Le propos se tient bien.
The Kills maîtrisent parfaitement leur sujet en assénant quelques coups rudes à son auditeur par le biais du thème éternel de l'amour ("Love Is A Deserter" et "I Hate The Way You Love 1 & 2") sur des mélodies entraînantes hypnotiques assimilé à la voix entêtante de VV, ponctués de rifs nets et tranchants de Hotel. Tout est basé sur cette entente, cette mise en scène, cette théâtralisation, cette opposition, cette guitare parlante et cette voix vive.
D'autant plus surprenant, l'assimilation post-punk des Kills à leur musique, l'introduction de l'aspect dansant à leur mélodies abrupt, cassante et forte. Ce qui donne des raisons de plus à VV de se tortiller, comme emprise de spasmes lors de morceaux mêlant un beat piqué à Bronsky Beat à un duo des deux Kills ("The Good Ones") ou à un beat prenant faisant contrepoids à la guitare lourde mené crescendo tambour battant par VV entrecoupé de dualités pop ("Murdermile"). Le très électrique "At The Back Of The Shell" et intimiste "Dead Road 7" viennent s'ajouter au tableau.
"Ticket Man" conclut cet album, retour au calme, à la réalité, à la création, à la liberté simple.
Excellent ! 18/20
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