Sebadoh
The Sebadoh |
Label :
Sub Pop |
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Lou Barlow et Jason Loewenstein ont toujours montré un talent flagrant quant à leurs qualités de songwriters hors-pair, et The Sebadoh ne déroge pas à cette règle. Russ Pollard complétant le line-up (remplaçant Bob Fay à la batterie), Sebadoh présente ici leur sixième album: un album teinté de Lo-Fi, complet et varié.
Sebadoh s'amuse à explorer toutes les terres auxquelles ils ont accès, entraînant une réelle diversité dans les compositions que l'on retrouve ici. Ainsi, "Colourblind" ou "Weird" appartiennent à un registre très pop mais passionnant, alors que certains titres tels "So Long" et "Cuban" apparaissent totalement déstructurés et déjantés. A côté de cela émergent quelques morceaux calmes (la ballade acoustique "Tree") ou mélancoliques ("Love Is Stronger"), ainsi que des titres de pure Lo-Fi comme "Flame" (qui sera édité en maxi), "Bird In The Hand", "Thrive" ou "Sorry".
Avec The Sebadoh, Sebadoh impose définitivement son style, sa classe et son talent, s'il en était encore besoin. Bénéficiant d'une production optimale, cet album est peut-être l'un des plus aboutis de Sebadoh. On ne se perd jamais dans des thèmes sans intérêt ou ennuyeux, et force est donc de constater les qualités des compositions offertes par Barlow et Loewenstein.
Le charme de The Sebadoh prend fin au bout de 48 minutes, à la fin desquelles on en redemande... D'ailleurs, on attend toujours la suite...
Sebadoh s'amuse à explorer toutes les terres auxquelles ils ont accès, entraînant une réelle diversité dans les compositions que l'on retrouve ici. Ainsi, "Colourblind" ou "Weird" appartiennent à un registre très pop mais passionnant, alors que certains titres tels "So Long" et "Cuban" apparaissent totalement déstructurés et déjantés. A côté de cela émergent quelques morceaux calmes (la ballade acoustique "Tree") ou mélancoliques ("Love Is Stronger"), ainsi que des titres de pure Lo-Fi comme "Flame" (qui sera édité en maxi), "Bird In The Hand", "Thrive" ou "Sorry".
Avec The Sebadoh, Sebadoh impose définitivement son style, sa classe et son talent, s'il en était encore besoin. Bénéficiant d'une production optimale, cet album est peut-être l'un des plus aboutis de Sebadoh. On ne se perd jamais dans des thèmes sans intérêt ou ennuyeux, et force est donc de constater les qualités des compositions offertes par Barlow et Loewenstein.
Le charme de The Sebadoh prend fin au bout de 48 minutes, à la fin desquelles on en redemande... D'ailleurs, on attend toujours la suite...
Très bon 16/20 | par X_Jpbowersock |
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