Herman Düne
Rouen [Sainte Croix Des Pelletiers] - jeudi 26 octobre 2006 |
Pour son troisième passage à Rouen en moins de deux ans, Herman Düne se produit ce soir dans la salle Sainte Croix des Pelletiers, une église reconvertie en salle de conférence et de spectacle ayant notamment reçu Andrew Bird l'an passé.
La soirée débute avec Shearwater, groupe formé par deux des membres d'Okkervil River. Le quatuor (guitare, clavier, contrebasse, batterie) propose un set fort sympathique égrainant quelques chansons du très bon Palo Santo sorti récemment.
Puis vient le tour des deux chanteuses, guitaristes de Baby Skins ; et ensuite de Turner Cody, qui après une poigné de chansons seul à la guitare est rejoint par Herman Dune pour deux titres sur lesquels David -Ivar Herman Dune (ou YaYa pour faire court) est à la basse.
Et débute enfin le concert d'Herman Dune. C'est malheureusement un demi Herman Dune, car André Dune (frère de David et auteur de la moitié des chansons de leur colossal répertoire) est absent puisqu'il a décidé de n'assurer ni les concerts ni la promotion du dernier album.
David ne jouera donc que ses chansons, ce qui nous laisse quand même de quoi nous régaler.
Ils sont désormais sept sur scène : Turner Cody tient la basse, un guitariste remplace André, Lori Schonberg est aux percussions et à la trompette, les deux filles de Baby Skins font les choeurs, bien sur Neman est à la batterie et David trimballe toujours sa SG et sa gratte sèche 3/4 (a mon grand regret il ne sortira pas son ukulélé se soir).
Le set se partage entre chansons de "Giant" ("I Wish That I Could See You Soon", "Take Him Back To New York City, ou encore le sympathique instrumental "Baby Bigger") ; des plus anciennes ("With A Fistfull Of Faith", "Whatever Burns The Best Baby") et comme toujours quelques inédits. La trompette et les choeurs apportent une tonalité festive et enjouée, et la troupe semble prendre autant de plaisir à jouer que nous à l'écouter.
Grand moment de la soirée, David débranche sa guitare et profite de l'acoustique de l'église pour jouer un morceau sans micro, devant un public conquit l'écoutant religieusement.
En unique rappel on a droit à "Not On Top" et "Walk, Don't Run", deux titres issus de leur précédent opus. A ce moment on regrette un peu les concerts précédents où le groupe ne quittait pas la scène jouant ses chansons à la demande. Le fait qu'il joue dans une salle plus grande nuit probablement à la communication et l'échange qui existait entre le groupe et son public.
En mettant de coté l'absence d'André, ce concert fut excellent. Mais avouons le, on a perdu un peu du charme de ce que le trio nous offrait auparavant.
La soirée débute avec Shearwater, groupe formé par deux des membres d'Okkervil River. Le quatuor (guitare, clavier, contrebasse, batterie) propose un set fort sympathique égrainant quelques chansons du très bon Palo Santo sorti récemment.
Puis vient le tour des deux chanteuses, guitaristes de Baby Skins ; et ensuite de Turner Cody, qui après une poigné de chansons seul à la guitare est rejoint par Herman Dune pour deux titres sur lesquels David -Ivar Herman Dune (ou YaYa pour faire court) est à la basse.
Et débute enfin le concert d'Herman Dune. C'est malheureusement un demi Herman Dune, car André Dune (frère de David et auteur de la moitié des chansons de leur colossal répertoire) est absent puisqu'il a décidé de n'assurer ni les concerts ni la promotion du dernier album.
David ne jouera donc que ses chansons, ce qui nous laisse quand même de quoi nous régaler.
Ils sont désormais sept sur scène : Turner Cody tient la basse, un guitariste remplace André, Lori Schonberg est aux percussions et à la trompette, les deux filles de Baby Skins font les choeurs, bien sur Neman est à la batterie et David trimballe toujours sa SG et sa gratte sèche 3/4 (a mon grand regret il ne sortira pas son ukulélé se soir).
Le set se partage entre chansons de "Giant" ("I Wish That I Could See You Soon", "Take Him Back To New York City, ou encore le sympathique instrumental "Baby Bigger") ; des plus anciennes ("With A Fistfull Of Faith", "Whatever Burns The Best Baby") et comme toujours quelques inédits. La trompette et les choeurs apportent une tonalité festive et enjouée, et la troupe semble prendre autant de plaisir à jouer que nous à l'écouter.
Grand moment de la soirée, David débranche sa guitare et profite de l'acoustique de l'église pour jouer un morceau sans micro, devant un public conquit l'écoutant religieusement.
En unique rappel on a droit à "Not On Top" et "Walk, Don't Run", deux titres issus de leur précédent opus. A ce moment on regrette un peu les concerts précédents où le groupe ne quittait pas la scène jouant ses chansons à la demande. Le fait qu'il joue dans une salle plus grande nuit probablement à la communication et l'échange qui existait entre le groupe et son public.
En mettant de coté l'absence d'André, ce concert fut excellent. Mais avouons le, on a perdu un peu du charme de ce que le trio nous offrait auparavant.
Très bon 16/20 | par Sonicjulio |
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