Muse
Absolution |
Label :
Naïve |
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Apres un deuxième album en demi-teinte, Muse est de retour. Autant le dire, cet album est une vraie arnaque, une bouse commerciale, creuse et criante pour rien !!!!
Pourtant tout commencait bien: deux singles excellents qui m'ont fait acheter l'album. Tout d'abord "Stockholm Syndrome", et son riff de guitare, ses percussions explosives et un chant excellent ! Puis "Time Is Running Out": les couplets sont excellents avec ce beat corrosif, par contre les refrains trop pompiers et classiques. Bref, ça s'annoncait pas mal !
Malheureusement ce sont quasiment les seuls titres valables. Tous les autres sont plus pompiers et désagréables que jamais, criards mais n'exprimant rien,et surtout très repetitifs . Quant aux quelques ballades au piano, elles sont mièvres et très chiantes. Seul "Endlessly" sort du lot, avec son chant déjanté et son instrumentation énergique.
Bref, avec cet album, Muse se noie dans le 'pompierisme' et des masses de beats electro sans intérêt. Matthew Bellamy qui nous avait habitué a quelques airs accrocheurs et à des solos de guitares sympas, semble s'être endormi et avoir choisi de surfer sur la mode du rock ado. Enfin les paroles sont plus navrantes que jamais ! Placebo est un groupe en convalescence, mais Muse est carrément mort !
Pourtant tout commencait bien: deux singles excellents qui m'ont fait acheter l'album. Tout d'abord "Stockholm Syndrome", et son riff de guitare, ses percussions explosives et un chant excellent ! Puis "Time Is Running Out": les couplets sont excellents avec ce beat corrosif, par contre les refrains trop pompiers et classiques. Bref, ça s'annoncait pas mal !
Malheureusement ce sont quasiment les seuls titres valables. Tous les autres sont plus pompiers et désagréables que jamais, criards mais n'exprimant rien,et surtout très repetitifs . Quant aux quelques ballades au piano, elles sont mièvres et très chiantes. Seul "Endlessly" sort du lot, avec son chant déjanté et son instrumentation énergique.
Bref, avec cet album, Muse se noie dans le 'pompierisme' et des masses de beats electro sans intérêt. Matthew Bellamy qui nous avait habitué a quelques airs accrocheurs et à des solos de guitares sympas, semble s'être endormi et avoir choisi de surfer sur la mode du rock ado. Enfin les paroles sont plus navrantes que jamais ! Placebo est un groupe en convalescence, mais Muse est carrément mort !
Sans intérêt 8/20 | par Joe the lion |
Posté le 03 mai 2004 à 22 h 25 |
Autant les deux premiers albums étaient, je trouve, assez réussis, celui-ci n'est pas mauvais en soi, mais il manque la "magie", des deux premiers. En effet, Bellamy et ses potes abusent trop de l'électro, et certains mélanges, sont assez déplaisants. Et en plus, les espèces de ballades au piano, qui au début sont sympa, deviennent rapidement répétitives, pour finir saoûlantes.
Surtout, le truc qui m'énerve encore plus, c'est les deux espèces de morceaux de bidouillage à la Linkin Park, au début, et au milieu du CD. Mais bon, malgré quelques morceaux décevants ("Apocalypse Please", "Falling Away With You", "Sing For Absolution"), il y a quand même de bons morceaux où l'on retrouve l'esprit des derniers CD ("The Smell Print", "Thougts Of A Dying Atheist"). Et surtout, le fameux "Stockholm Syndrome", qui est ravageur, avec son riff de tronçonneuse.
Voilà, et, à mon avis, vu comment ils sont partis, ils vont rapidement prendre la grosse tête (si ce n'est déjà fait), et le prochain album ressemblera plus à Kyo, ou à un truc commercial, bien pitoyable comme ça.
Surtout, le truc qui m'énerve encore plus, c'est les deux espèces de morceaux de bidouillage à la Linkin Park, au début, et au milieu du CD. Mais bon, malgré quelques morceaux décevants ("Apocalypse Please", "Falling Away With You", "Sing For Absolution"), il y a quand même de bons morceaux où l'on retrouve l'esprit des derniers CD ("The Smell Print", "Thougts Of A Dying Atheist"). Et surtout, le fameux "Stockholm Syndrome", qui est ravageur, avec son riff de tronçonneuse.
Voilà, et, à mon avis, vu comment ils sont partis, ils vont rapidement prendre la grosse tête (si ce n'est déjà fait), et le prochain album ressemblera plus à Kyo, ou à un truc commercial, bien pitoyable comme ça.
Moyen 10/20
Posté le 26 mai 2004 à 18 h 08 |
Je trouve que les critiques que je viens de lire sont quand même très cassantes !! Il ne faut quand même pas oublier qu'ils ne sont que 3 sur scène et que Mathieu Bellamy est un musicien hors pair (entre guitare/piano mon coeur balance :)).
Il est clair que le dernier album est un peu plus décevant que le premier mais quand même, je trouve qu'il y a vraiment du bon son. De toutes façons, cela concerne en général un bon nombre de groupe de se relâcher à un moment donné, mais franchement Muse en Live c'est quand même très très punk/rock !
Moi j'adhère à fond.... désolée.
Il est clair que le dernier album est un peu plus décevant que le premier mais quand même, je trouve qu'il y a vraiment du bon son. De toutes façons, cela concerne en général un bon nombre de groupe de se relâcher à un moment donné, mais franchement Muse en Live c'est quand même très très punk/rock !
Moi j'adhère à fond.... désolée.
Bon 15/20
Posté le 22 juin 2004 à 18 h 27 |
Lire les différents avis très éparses qui circulent concernant cet album tantôt adulé, tantôt descendu en flammes demeure très instructif... Je noterai pour ma part que les critiques dits plus "exigeants" ont souligné le travail sur les compositions et le son du groupe, tandis que les fans lycéens pleurent la relative absence de fortes décibels... Muse s'est extirpé avec brio de l'impasse néo-metal dans laquelle il commençait à s'engouffrer, les explosions électriques ne sont certes plus systématiques, mais c'est tant mieux car elles mettent en lumière la nouvelle maturité du trio qui bosse sur ses chansons avant de songer à bêtement faire du bruit.
Les ballades ne sont pas chiantes, elles font étalage d'un talent mélodique qui va au-delà de la simple complainte calibrée pour plaire aux teenagers. Un morceau comme "Falling Away With You" a le mérite d'être accrocheur sans jamais verser dans la caricature, il se paye même le luxe de sonner de façon peu commune. Car oui, les orchestrations sont complexes, mais alors que bien des titres de "Origin Of Symmetry' souffraient d'une grandiloquence confinant au mauvais goût, "Absolution" vise juste à chaque fois.
L'album est d'une richesse indéniable et maintient un niveau de qualité admirable du premier au dernier titre. Libre à chacun de cracher sur cet album dit plus "commercial" (en voilà un argument !), mais j'attends encore une vraie analyse qui rendrait compte de la prétendue mauvaise qualité du disque
Muse n'est pas mort, merci pour lui, il a même relevé la tête avec classe, peu importent les effets de mode.
Les ballades ne sont pas chiantes, elles font étalage d'un talent mélodique qui va au-delà de la simple complainte calibrée pour plaire aux teenagers. Un morceau comme "Falling Away With You" a le mérite d'être accrocheur sans jamais verser dans la caricature, il se paye même le luxe de sonner de façon peu commune. Car oui, les orchestrations sont complexes, mais alors que bien des titres de "Origin Of Symmetry' souffraient d'une grandiloquence confinant au mauvais goût, "Absolution" vise juste à chaque fois.
L'album est d'une richesse indéniable et maintient un niveau de qualité admirable du premier au dernier titre. Libre à chacun de cracher sur cet album dit plus "commercial" (en voilà un argument !), mais j'attends encore une vraie analyse qui rendrait compte de la prétendue mauvaise qualité du disque
Muse n'est pas mort, merci pour lui, il a même relevé la tête avec classe, peu importent les effets de mode.
Parfait 17/20
Posté le 14 décembre 2004 à 16 h 53 |
Que du bonheur. En effet quel plaisir de découvrir au fil des années que le groupe Muse est toujours aussi bon. En effet Absolution n'est pas l'album de la consécration (en effet ce serait plutôt Origin Of Symmetry), mais c'est l'album que le groupe ne devait pas rater pour continuer sur la longue voie du succés. Absolution met encore une fois de plus en avant la voix envoûtante de Mattew Bellamy mais l'album a bien d'autres arguments. On découvre avec beaucoup de plaisir que le groupe a réussi une fois de plus à offrir quelque chose d'original. On prend plaisir à écouter les divers passages aux pianos mais on est aussi content de pouvoir profiter de passages endiablés à la guitare bien loin du "bruit sans saveur" de bien d'autres groupes. En effet Muse gère parfaitement les chansons et ne gâche pas les thèmes par un surplus de guitare inutile. Tout est bien dosé pour offrir aux fans un album diversifié où certaines chansons sont de véritables mélodies et ou d'autres sont de véritables shows à la guitare. La performance du groupe ne peut d'ailleurs être remise en cause avec car avec cet album, Muse a fait une tournée dans le monde entier où le groupe est acclamé a chaque concert par des milliers de fans. Tournée récompensé par un award au UK Festival Awards 2004 qui consacre le groupe en tant que meilleur groupe live. A n'en pas douter Muse n'aurait jamais eu autant de succès en live avec cette tournée si Absolution avait été un mauvais album. Cet album à un charme qui a ravi et ravira les plus musiciens d'entre nous, les plus sensibles à un vrai son rock et ceux dont l'oreille n'est pas faussée par "le bruit et par de la musique qui n'en est pas".
Excellent ! 18/20
Posté le 19 mars 2005 à 21 h 30 |
Je ne partage pas ton avis, tueurdecoiffeur. Au moins ce groupe fait parler de lui, provoque la pitié chez certains et l'émerveillement chez d'autres. Dire que Muse est un groupe mort, je trouve ca un peu fort ...
En tout cas on ne pourra pas leur reprocher de ne pas faire dans la diversité, la plupart des chansons ne nous donnent pas un goût de déjà-vu. ("Endlessly", "Blackout", "Buttercanes", "Ruled By Secrecy", "Falling Away", "Thougths Of A Dying Atheist" ...)
Et c'est peut-être le problème de cet album, un peu trop inégal, on adhère facilement à des chansons comme "Apocalypse Please", "Sing for Absolution", "Time is Running Out", "Hysteria"...
Bref, en gros la première partie de l'album est plus facilement écoutable que la seconde (plus calme), certaines chansons sont mêmes ratées à mon gout (mention spéciale à "Thoughts Of A Dying Atheist" et ses "yeah" qui gachent tout ; sinon "The Small Print" est trop insipide). "Endlessly" est une bonne surprise, "Ruled By Secrecy" est très simple, et pourtant avec ses 2 accords de piano elle arrive à me toucher. Sinon "Stockholm Syndrom" est pas terrible.
En gros ca fait 14 / 20, on sent que certaines chansons ont été baclées, sinon la plupart sont du Muse, du bon !
En tout cas on ne pourra pas leur reprocher de ne pas faire dans la diversité, la plupart des chansons ne nous donnent pas un goût de déjà-vu. ("Endlessly", "Blackout", "Buttercanes", "Ruled By Secrecy", "Falling Away", "Thougths Of A Dying Atheist" ...)
Et c'est peut-être le problème de cet album, un peu trop inégal, on adhère facilement à des chansons comme "Apocalypse Please", "Sing for Absolution", "Time is Running Out", "Hysteria"...
Bref, en gros la première partie de l'album est plus facilement écoutable que la seconde (plus calme), certaines chansons sont mêmes ratées à mon gout (mention spéciale à "Thoughts Of A Dying Atheist" et ses "yeah" qui gachent tout ; sinon "The Small Print" est trop insipide). "Endlessly" est une bonne surprise, "Ruled By Secrecy" est très simple, et pourtant avec ses 2 accords de piano elle arrive à me toucher. Sinon "Stockholm Syndrom" est pas terrible.
En gros ca fait 14 / 20, on sent que certaines chansons ont été baclées, sinon la plupart sont du Muse, du bon !
Sympa 14/20
Posté le 18 mai 2005 à 14 h 52 |
Certainement le plus commercial. Certes, exit l'éléctricité abondante de "OOS", ou le gouffre de "Showbiz" et de "Hullabaloo" (plagiat de Radiohead selon certains), place à un peu plus de simplicité ... apparente. La Muse-Ik classique côtoie des sons lourds. au sein d'un même morceau, étonnant (subjectivement=> merveilleux), une dualité très bien exploitée.
Içi, quasiment des tubes à chaque plage et des titres de chansons très passionnels, avoue même Amélie Nothomb.
L'histoire commence par un prologue, les pas d'une armée, pas une armée de tapettes, au rang, garde à vous et tout, une prise de pouvoir par la force telle une armée hitlerienne reconstituée. Un combat personnel ? Contre ce que nous sommes ? Pour anéantir un amour persistant ?
L'album continue allant de répits en désillusions, de combats en affolements ;
allant de piano passionnel et tourmenté ("B&H" ,"Ruled By Secrecy", "Apocalypse Please"), en riff de guitares saturées et dissipées, en envolées vocales tout autant saturées ("Sing For Absolution", "Hysteria", où la voix est l'élément décrié par ceux qui n'aime pas), et en ponts oniriques ("Apocalypse Please", "Stockholm Syndrome", "Blackout", "B&H" ... c'est carrément un concerto).
La voix de Matthew Bellamy résonne comme un instrument à part entière, groupe anglais oblige, accompagné par les bruits bucaux doux en retrait du bassiste, Chris Wolstenholme.
Muse nous gratifie même d'une reprise d'un morceau de musique classique baroque de 1936-1938 (juste avant guerre), l' "Interlude", extrait tiré de l' Adagio For Strings de Samuel Barber (une merveille) ... revisité sur des cordes plus lourdes.
Le doux et dark "Ruled By Secrecy" clôt cet opus (à part au Japon, mais c'est anectotique), qui met le Mal en échec, par sa mort confirmée par les dernières notes qui sonnent comme un coeur qui se fige.
La reconstruction du monde (de l'être?) peut avoir lieu ...
Içi, quasiment des tubes à chaque plage et des titres de chansons très passionnels, avoue même Amélie Nothomb.
L'histoire commence par un prologue, les pas d'une armée, pas une armée de tapettes, au rang, garde à vous et tout, une prise de pouvoir par la force telle une armée hitlerienne reconstituée. Un combat personnel ? Contre ce que nous sommes ? Pour anéantir un amour persistant ?
L'album continue allant de répits en désillusions, de combats en affolements ;
allant de piano passionnel et tourmenté ("B&H" ,"Ruled By Secrecy", "Apocalypse Please"), en riff de guitares saturées et dissipées, en envolées vocales tout autant saturées ("Sing For Absolution", "Hysteria", où la voix est l'élément décrié par ceux qui n'aime pas), et en ponts oniriques ("Apocalypse Please", "Stockholm Syndrome", "Blackout", "B&H" ... c'est carrément un concerto).
La voix de Matthew Bellamy résonne comme un instrument à part entière, groupe anglais oblige, accompagné par les bruits bucaux doux en retrait du bassiste, Chris Wolstenholme.
Muse nous gratifie même d'une reprise d'un morceau de musique classique baroque de 1936-1938 (juste avant guerre), l' "Interlude", extrait tiré de l' Adagio For Strings de Samuel Barber (une merveille) ... revisité sur des cordes plus lourdes.
Le doux et dark "Ruled By Secrecy" clôt cet opus (à part au Japon, mais c'est anectotique), qui met le Mal en échec, par sa mort confirmée par les dernières notes qui sonnent comme un coeur qui se fige.
La reconstruction du monde (de l'être?) peut avoir lieu ...
Parfait 17/20
Posté le 13 août 2005 à 18 h 48 |
En deux albums, Muse est parvenu rapidement à acquérir la reconnaissance de la critique ainsi que celle du public, sans aucun compromis ni faute de parcours. Un son clairement pop, bardé de guitares et caractérisé par une emphase osée mais pourtant toujours émouvante, menée de main de maître par la voix charismatique de Matthew Bellamy.
Ancré dans la britpop anglaise, vaguement dans l'ombre de Radiohead, "Showbiz" puis surtout "Origin of Symmetry" ont permis au trio de développer des ambiances personnelles, presque inquiétantes, avec des compositions qui semblent parfois flirter avec la folie.
C'est donc avec la plus grande confiance qu'on allait aborder "Absolution", mais dès les premières mesures d' "Apocalypse Please", les choses se gâtent. Les claviers sont mis en avant d'une façon absolument grotesque, l'esprit space opera de "Origin of Symmetry" s'enlise dans des fautes de goût abominables et le résultat s'approche plus du son de Queen ou parfois Elton John, que de celui auquel nous avait habitué le groupe jusque-là. Et malheureusement, ces références dramatiques reviennent à plusieurs reprises tout au long de l'album (comme sur "Butterflies and Hurricanes", gâché par cet insupportable break piano/violons).
Un peu plus loin on découvre "Sing for Absolution", "Blackou"t et "Ruled by Secrecy", trois balades mielleuses à l'excès. Même le single "Stockholm Syndrom" est maltraité et reprend ces claviers malvenus, s'habillant de riffs de guitare bien trop lourds ... Trop, c'est le mot qui résume "Absolution" ! Même s'il reste quelques titres Muse pur jus, comme "Time Is Running Out", "Tsp" ou "Thoughts of a Dying Atheist", l'impression générale est vraiment désastreuse. (Beaucoup) trop de claviers, trop de grandiloquence, l'album suinte de tous les reproches que portaient les détracteurs du groupe à ses débuts, alors que l'on présentait Muse comme les héros de l'avenir du pop rock.
S' il faut reconnaître qu'ils en ont tenu brillamment le flambeau jusque-là, c'est rapidement de ce "Absolution" qu'il va falloir s'absoudre. Sinon il faudra sérieusement penser à passer la main.
Ancré dans la britpop anglaise, vaguement dans l'ombre de Radiohead, "Showbiz" puis surtout "Origin of Symmetry" ont permis au trio de développer des ambiances personnelles, presque inquiétantes, avec des compositions qui semblent parfois flirter avec la folie.
C'est donc avec la plus grande confiance qu'on allait aborder "Absolution", mais dès les premières mesures d' "Apocalypse Please", les choses se gâtent. Les claviers sont mis en avant d'une façon absolument grotesque, l'esprit space opera de "Origin of Symmetry" s'enlise dans des fautes de goût abominables et le résultat s'approche plus du son de Queen ou parfois Elton John, que de celui auquel nous avait habitué le groupe jusque-là. Et malheureusement, ces références dramatiques reviennent à plusieurs reprises tout au long de l'album (comme sur "Butterflies and Hurricanes", gâché par cet insupportable break piano/violons).
Un peu plus loin on découvre "Sing for Absolution", "Blackou"t et "Ruled by Secrecy", trois balades mielleuses à l'excès. Même le single "Stockholm Syndrom" est maltraité et reprend ces claviers malvenus, s'habillant de riffs de guitare bien trop lourds ... Trop, c'est le mot qui résume "Absolution" ! Même s'il reste quelques titres Muse pur jus, comme "Time Is Running Out", "Tsp" ou "Thoughts of a Dying Atheist", l'impression générale est vraiment désastreuse. (Beaucoup) trop de claviers, trop de grandiloquence, l'album suinte de tous les reproches que portaient les détracteurs du groupe à ses débuts, alors que l'on présentait Muse comme les héros de l'avenir du pop rock.
S' il faut reconnaître qu'ils en ont tenu brillamment le flambeau jusque-là, c'est rapidement de ce "Absolution" qu'il va falloir s'absoudre. Sinon il faudra sérieusement penser à passer la main.
Excellent ! 18/20
Posté le 11 janvier 2006 à 22 h 00 |
Les deux premiers albums de Muse étaient bons, voguant entre rock assez britannique et envolée lyrique à grand coup de riffs-qui-font-mal-aux-oreilles. Muse a toujours été un groupe bruyant, bruyant certes mais brillant aussi. Des fois.
C'est donc avec une folle et furieuse envie que je cale cet album dans mon lecteur. Le côté bruyant, je le ressens, pas de soucis... le côté brillant... euh... deux, trois, quatre écoutes, et très peu de titres me restent en tête. Absolution commence fort, fort dans le côté bruit du terme, ça matraque la mesure autant que possible, Bellamy crie autant que sa voix le permet, tutoyant l'horreur bien trop souvent. "Absolution Please" est passé, ça va toujours mieux ensuite. Le single archi-diffusé "Time Is Running Out", simpliste au possible, passe assez mollement, sans que rien n'accroche l'oreille. Passe ensuite l'insipide et fade "Song For Absolution" précédant l'une des (trop) rares bonnes choses de cet album, le très rock "Stockholm Syndrome", vous savez ce syndrome psychologique qui fait que l'on tombe amoureux de son bourreau... voilà voilà.
La suite passe et on a plutôt envie de le faire taire, le bourreau. "Hysteria" est une catastrophe électro-rock abrutissante, "Butterflies & Hurricanes" tente avec désespoir de relever le niveau, et on arrive à la fin de cet album déçu, n'ayant rien vu d'autre à part du médiocre (beaucoup) et du correct (un peu).
Arrive alors tel un sauveur de l'impossible "Endlessly", seule prise de risque du combo, un titre electro pop assez bien foutu, seule touche à peu près réussie de sensibilité dans cet album de brutes. Bien que les écoutes successives lui effacent peu à peu de sa subtilité, il est tout de même intéressant de voir que ce groupe a tenté une faible incursion dans un style où on ne l'attendait pas. L'album finit alors avec "Thoughts Of A Dying Atheist", très classique mais pas mauvais, assez proche de ce que Muse avait produit à leur début, et "Ruled By Secrecy" dont j'attends toujours que l'intérêt (très bien) caché de cet titre me tombe dessus comme un miracle...
Pour finir, on peut dire que Muse se perd dans des bidouillages ratés et que Bellamy ferait bien d'arrêter de hurler, parce que quand il veut, ce garçon chante bien. La magie entrevue sur les précédents opus devait être en RTT lors de l'enregistrement de cette absolution de la médiocrité, prions simplement pour qu'elle revienne de vacances avant le prochain essai. Déçu, ça oui, ce n'est pas avec eux que je tomberai amoureux d'un bourreau, quel qu'il soit.
C'est donc avec une folle et furieuse envie que je cale cet album dans mon lecteur. Le côté bruyant, je le ressens, pas de soucis... le côté brillant... euh... deux, trois, quatre écoutes, et très peu de titres me restent en tête. Absolution commence fort, fort dans le côté bruit du terme, ça matraque la mesure autant que possible, Bellamy crie autant que sa voix le permet, tutoyant l'horreur bien trop souvent. "Absolution Please" est passé, ça va toujours mieux ensuite. Le single archi-diffusé "Time Is Running Out", simpliste au possible, passe assez mollement, sans que rien n'accroche l'oreille. Passe ensuite l'insipide et fade "Song For Absolution" précédant l'une des (trop) rares bonnes choses de cet album, le très rock "Stockholm Syndrome", vous savez ce syndrome psychologique qui fait que l'on tombe amoureux de son bourreau... voilà voilà.
La suite passe et on a plutôt envie de le faire taire, le bourreau. "Hysteria" est une catastrophe électro-rock abrutissante, "Butterflies & Hurricanes" tente avec désespoir de relever le niveau, et on arrive à la fin de cet album déçu, n'ayant rien vu d'autre à part du médiocre (beaucoup) et du correct (un peu).
Arrive alors tel un sauveur de l'impossible "Endlessly", seule prise de risque du combo, un titre electro pop assez bien foutu, seule touche à peu près réussie de sensibilité dans cet album de brutes. Bien que les écoutes successives lui effacent peu à peu de sa subtilité, il est tout de même intéressant de voir que ce groupe a tenté une faible incursion dans un style où on ne l'attendait pas. L'album finit alors avec "Thoughts Of A Dying Atheist", très classique mais pas mauvais, assez proche de ce que Muse avait produit à leur début, et "Ruled By Secrecy" dont j'attends toujours que l'intérêt (très bien) caché de cet titre me tombe dessus comme un miracle...
Pour finir, on peut dire que Muse se perd dans des bidouillages ratés et que Bellamy ferait bien d'arrêter de hurler, parce que quand il veut, ce garçon chante bien. La magie entrevue sur les précédents opus devait être en RTT lors de l'enregistrement de cette absolution de la médiocrité, prions simplement pour qu'elle revienne de vacances avant le prochain essai. Déçu, ça oui, ce n'est pas avec eux que je tomberai amoureux d'un bourreau, quel qu'il soit.
Insipide 7/20
Posté le 25 avril 2006 à 22 h 45 |
On se l'accorde, le troisième opus est souvent pour un groupe, l'examen du bâchelier. Qu'on s'appelle Muse ou pas, on ne déroge pas à la règle.
Après un premier opus certes inégal (le long terme en est la preuve irréfutable) mais regorgeant de quelques pépites géniales ("Muscle Museum", "Showbiz", "Uno" ou le sublime "Hate This & I'll Love You"), la bande à Matthew s'est un peu égaré vers un pseudo rock progressif dans le moins original Origin Of Symmetry, dont seul le "Plug In Baby" est son refrain ravageur surplombe un disque moins abouti que son prédécesseur.
Il fallait bien attendre le 3ème pour comprendre toute la classe de ce groupe. La preuve: une intro théatrale ("This is the end of the world" dans le texte), une conclusion limite opéra (le grand "Ruled By Secrecy"). Et au milieu me direz-vous ? Son lot de tueries remarquables "Time Is Running Out", "Sing For Absolution", "Stockholm Syndrome". Mais que penser de ce tiercé absolument fabuleux qu'est "Hysteria", Blackout" et "Butterflies And Hurricanes" ou comment enchainer la furie, la douceur et la beauté pour un moment d'anthologie. Certes, les trois morceaux qui suivent sentent un peu le réchauffé, mais le reste fait trop la différence pour casser la magie d'un album qui se révèle aussi un formidable atout sur scène.
Merci Muse pour tant de bonheur...
Après un premier opus certes inégal (le long terme en est la preuve irréfutable) mais regorgeant de quelques pépites géniales ("Muscle Museum", "Showbiz", "Uno" ou le sublime "Hate This & I'll Love You"), la bande à Matthew s'est un peu égaré vers un pseudo rock progressif dans le moins original Origin Of Symmetry, dont seul le "Plug In Baby" est son refrain ravageur surplombe un disque moins abouti que son prédécesseur.
Il fallait bien attendre le 3ème pour comprendre toute la classe de ce groupe. La preuve: une intro théatrale ("This is the end of the world" dans le texte), une conclusion limite opéra (le grand "Ruled By Secrecy"). Et au milieu me direz-vous ? Son lot de tueries remarquables "Time Is Running Out", "Sing For Absolution", "Stockholm Syndrome". Mais que penser de ce tiercé absolument fabuleux qu'est "Hysteria", Blackout" et "Butterflies And Hurricanes" ou comment enchainer la furie, la douceur et la beauté pour un moment d'anthologie. Certes, les trois morceaux qui suivent sentent un peu le réchauffé, mais le reste fait trop la différence pour casser la magie d'un album qui se révèle aussi un formidable atout sur scène.
Merci Muse pour tant de bonheur...
Exceptionnel ! ! 19/20
Posté le 30 avril 2006 à 15 h 00 |
Au debut, je me suis dit qu'Absolution était le meilleur album de Muse. Mais après l'avoir écouté trois fois, j'étais déjà lassé contrairement aux précédents albums. Absolution est trop... parfait. on l'aime à la première écoute mais il n'en reste rien. C'est quand même une bombe, surtout en concert, il n'y a qu'a voir "Hysteria", c'est magique. Le groupe l'a dit: ils ont créé cet album en pensant à ce qu'il rendrait en live. Je ne suis pas déçu, bien au contraire, j'attends le prochain album avec impatience. Ceci dit, j'espère qu'il ressemblera aux deux premiers.
Absolution est très fort ("Stockolm Syndrome"), envoûtant ("Sing For Absolution"), mystérieux ("Endlessly")... Je ne regrette pas de l'avoir.
Absolution est très fort ("Stockolm Syndrome"), envoûtant ("Sing For Absolution"), mystérieux ("Endlessly")... Je ne regrette pas de l'avoir.
Exceptionnel ! ! 19/20
Posté le 10 octobre 2008 à 17 h 15 |
La France fut l'un des tout premiers pays à porter Muse en triomphe, et ce dès 1999 avec la sortie de Showbiz et le succès du (pourtant insupportable) single "Uno". Pas convaincu à l'époque, je dois dire que Origin Of Symmetry m'avait cependant montré que Muse avait du potentiel, même si là encore, l'essai n'était pas complètement transformé. C'est cependant avec l'espoir que le trio anglais sorte enfin son grand disque que j'ai décidé de garder un œil sur eux. C'est donc finalement au début de l'automne 2003, avec la sortie de Absolution, que Muse m'a enfin convaincu totalement.
Des bruits de pas à la cadence militaire résonnent, quelques paroles aux consonances germaniques se font entendre et on embraie directement sur un "Apocalypse Please" fantastique, porté par une rythmique du tonnerre et un piano dantesque. Difficile de faire meilleure entrée en matière et autant le dire de suite, ce titre augurera d'un grand album.
Si l'on veut d'emblée aborder les aspects fâcheux, on pourra dire que le groupe abusera certes un peu trop de l'alternance titres rock/titres calmes, il y aura aussi une ou deux erreurs de casting, comme "The Small Print" un peu bourrin et qui n'apporte pas grand chose au disque (en faire une b-side n'aurait-il pas été plus approprié?). Plus discutable, je citerais quand même "Time Is Running Out" qui a quand même eu le mérite de faire une grosse promo à l'album, mais qui à force d'être martelé sur les radios, deviendra vite énervant (d'ailleurs il serait bien qu'ils pensent à ne plus la jouer en concert!).
Pourtant le reste du disque impressionne. Si le groupe s'évertue toujours à faire du bruit, on peut dire qu'il le fait de manière remarquable avec "Stockholm Syndrome" (qui bénéficie d'une production énorme) ou le parfait "Hysteria" et sa rythmique démoniaque. Pourtant, dans le registre calme, Muse s'en sort au moins aussi bien avec "Falling Away With You", "Sing For Absolution" (qui n'aura malheureusement jamais droit à un passage convaincant à la scène) mais aussi et surtout avec "Blackout" et "Ruled By Secrecy". Deux titres sous-estimés (y compris par une bonne partie des fans) qui révèlent la passion de Bellamy pour la musique classique, deux titres hors du temps, à l'ambiance vaporeuse et la mélancolie palpable.
Quelque part entre rock heavy et musique classique, on trouve également l'excellent "Butterflies & Hurricanes" où le leader du groupe fait des prouesses avec un solo de piano de haut vol.
Plus globalement, "Absolution" a le mérite de proposer une vraie cohérence dans son déroulement, chaque titre étant bonifié de par sa position sur le disque.
Cinq ans sont passés mais le troisième album du trio du Devon continue de m'impressionner tant par sa richesse que par son efficacité, et il me semble toujours leur travail le plus abouti à ce jour. A quelques détails près, il aurait pu être encore meilleur certes, mais selon moi, c'est quand même LE disque qui les a fait entrer dans la cour des grands. Une référence...
Des bruits de pas à la cadence militaire résonnent, quelques paroles aux consonances germaniques se font entendre et on embraie directement sur un "Apocalypse Please" fantastique, porté par une rythmique du tonnerre et un piano dantesque. Difficile de faire meilleure entrée en matière et autant le dire de suite, ce titre augurera d'un grand album.
Si l'on veut d'emblée aborder les aspects fâcheux, on pourra dire que le groupe abusera certes un peu trop de l'alternance titres rock/titres calmes, il y aura aussi une ou deux erreurs de casting, comme "The Small Print" un peu bourrin et qui n'apporte pas grand chose au disque (en faire une b-side n'aurait-il pas été plus approprié?). Plus discutable, je citerais quand même "Time Is Running Out" qui a quand même eu le mérite de faire une grosse promo à l'album, mais qui à force d'être martelé sur les radios, deviendra vite énervant (d'ailleurs il serait bien qu'ils pensent à ne plus la jouer en concert!).
Pourtant le reste du disque impressionne. Si le groupe s'évertue toujours à faire du bruit, on peut dire qu'il le fait de manière remarquable avec "Stockholm Syndrome" (qui bénéficie d'une production énorme) ou le parfait "Hysteria" et sa rythmique démoniaque. Pourtant, dans le registre calme, Muse s'en sort au moins aussi bien avec "Falling Away With You", "Sing For Absolution" (qui n'aura malheureusement jamais droit à un passage convaincant à la scène) mais aussi et surtout avec "Blackout" et "Ruled By Secrecy". Deux titres sous-estimés (y compris par une bonne partie des fans) qui révèlent la passion de Bellamy pour la musique classique, deux titres hors du temps, à l'ambiance vaporeuse et la mélancolie palpable.
Quelque part entre rock heavy et musique classique, on trouve également l'excellent "Butterflies & Hurricanes" où le leader du groupe fait des prouesses avec un solo de piano de haut vol.
Plus globalement, "Absolution" a le mérite de proposer une vraie cohérence dans son déroulement, chaque titre étant bonifié de par sa position sur le disque.
Cinq ans sont passés mais le troisième album du trio du Devon continue de m'impressionner tant par sa richesse que par son efficacité, et il me semble toujours leur travail le plus abouti à ce jour. A quelques détails près, il aurait pu être encore meilleur certes, mais selon moi, c'est quand même LE disque qui les a fait entrer dans la cour des grands. Une référence...
Excellent ! 18/20
Posté le 26 avril 2009 à 13 h 27 |
Absolution, le 3ème album de Muse sort 2 ans après Origin Of Symmetry qui était pour moi le meilleur disque de Muse. Je trouve que cette fois le niveau est légèrement moins bon.
On commence avec un joli "Apoalypse Please" qui nous laisse croire que cet album va être parfait. Malheuresement suit "Time Is Running Out"; on accroche assez vite mais aussi on s'en lasse très vite, c'est une chanson très répétitive et avec un refrain assez "classique". Après vient "Sing For Absolution" qui me fait penser a TIRO avec encore un refrain qui nous lasse assez vite. "Stockholm Syndrome" est pour moi l'une des meilleurs chansons de l'album avec un riff qui nous fait penser à du métal et un refrain cette fois très envoutant.
Je saute "Falling Away With You" qui est une chanson sans trop d'intérêt pour moi. "Hysteria" est une belle chanson avec un beau riff et un Matt Bellamy qui avec sa voix modifiée nous rends très heureux. "Butterflies And Hurricanes" est le chef-d'oeuvre de l'album avec ce magnifiue passage d'une minute au piano qui me rappelle un peu "Space Dementia" (de l'album Origin Of Symmetry) pour son coté "musique classique".
"The Small Print" et "Thoughts Of A Dying Atheist" sont deux chansons assez similaires mais qui sont très agréables a écouter, un petit peu comme "Hyper Music" d'Oos. "Endlessly" est un très joli morceau dont on ne se lasse pas vraiment mais qui ne nous rends pas accro non plus. Et pour terminer cet album "Ruled By Secrecy" une chanson triste pour la fin avec une voix basse au debut mais qui hausse durant toute la chanson jusqu'a l'explosion à la fin avec le piano, piano qui sonne faux par moment, malgré cela "Ruled By Secrecy" est une assez belle chanson.
Absolution est un bon album mais sans trop d'évolutions par rapport a Origin Of Symmetry qui est meilleur je pense. Un petit changement est quand même notable est peu faire remonté la note de l'album: Plus de respirations énormes entre chaque phrases des chansons pour Matt Bellamy ouf !
On commence avec un joli "Apoalypse Please" qui nous laisse croire que cet album va être parfait. Malheuresement suit "Time Is Running Out"; on accroche assez vite mais aussi on s'en lasse très vite, c'est une chanson très répétitive et avec un refrain assez "classique". Après vient "Sing For Absolution" qui me fait penser a TIRO avec encore un refrain qui nous lasse assez vite. "Stockholm Syndrome" est pour moi l'une des meilleurs chansons de l'album avec un riff qui nous fait penser à du métal et un refrain cette fois très envoutant.
Je saute "Falling Away With You" qui est une chanson sans trop d'intérêt pour moi. "Hysteria" est une belle chanson avec un beau riff et un Matt Bellamy qui avec sa voix modifiée nous rends très heureux. "Butterflies And Hurricanes" est le chef-d'oeuvre de l'album avec ce magnifiue passage d'une minute au piano qui me rappelle un peu "Space Dementia" (de l'album Origin Of Symmetry) pour son coté "musique classique".
"The Small Print" et "Thoughts Of A Dying Atheist" sont deux chansons assez similaires mais qui sont très agréables a écouter, un petit peu comme "Hyper Music" d'Oos. "Endlessly" est un très joli morceau dont on ne se lasse pas vraiment mais qui ne nous rends pas accro non plus. Et pour terminer cet album "Ruled By Secrecy" une chanson triste pour la fin avec une voix basse au debut mais qui hausse durant toute la chanson jusqu'a l'explosion à la fin avec le piano, piano qui sonne faux par moment, malgré cela "Ruled By Secrecy" est une assez belle chanson.
Absolution est un bon album mais sans trop d'évolutions par rapport a Origin Of Symmetry qui est meilleur je pense. Un petit changement est quand même notable est peu faire remonté la note de l'album: Plus de respirations énormes entre chaque phrases des chansons pour Matt Bellamy ouf !
Parfait 17/20
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