Les Thugs
Radical Hystery |
Label :
Closer |
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Les Thugs, si à travers ce nom résonnent encore les quelques balles tirées au début des nineties dans les rues de Stone Mountain et de L.A., reste que pour nous, cela évoque plus un produit du terroir, une terrine punk, un paté noisy... voyez le genre ??
Radical hystery est le premier album des Thugs, d'un monument du punk-rock français, et il faut être honnête, c'est plutôt indigeste....
Enregistré en 20 secondes et demi, on ne sait où, cet album est un pavé, une brique de 30min à avaler sans verre d'eau.
L'album trace son chemin en ligne droite, tiens sa moyenne (plus que respectable ) le long des lignes des basses. Les choeurs fantomatiques et guitares açérées, posent les bases pour l'avenir, même si le son est pourri... à écouter comme ça, à decouvrir.
Radical hystery est le premier album des Thugs, d'un monument du punk-rock français, et il faut être honnête, c'est plutôt indigeste....
Enregistré en 20 secondes et demi, on ne sait où, cet album est un pavé, une brique de 30min à avaler sans verre d'eau.
L'album trace son chemin en ligne droite, tiens sa moyenne (plus que respectable ) le long des lignes des basses. Les choeurs fantomatiques et guitares açérées, posent les bases pour l'avenir, même si le son est pourri... à écouter comme ça, à decouvrir.
| Sympa 14/20 | par Boom |
Posté le 06 novembre 2005 à 10 h 01 |
On retrouve sur cet album les prémices d' Electric Troubles et de Still Hangry, en plus strictement punk-rock. Mais tout est déja là: les mélodies, les guitares, la voix d'Eric, la batterie de Christophe et la basse de Gérald.
Le son est peut-être contestable, mais le potentiel existe déja et donne un disque plutôt bon, à l'image de "Never Get Older", "Le Schpountz", "Road Closed", "I's So Bad" aux allures de Cramps, "Where Is The Party", l'instrumental "Without Annie"...et tout le reste.
Tout cela donne un album costaud, solide et doté de morceaux déja accrocheurs, dans un style qui certes privilégie le punk-rock mais qui décline celui-ci à la sauce Thugs, de manière variée et inventive.
On sent que les Angevins, en poursuivant sur cette voie et en peaufinant leur musique et leur son, peuvent arriver à quelque chose de grand et prendre le leadership d'une scène française peu fournie à cette époque.
Le son est peut-être contestable, mais le potentiel existe déja et donne un disque plutôt bon, à l'image de "Never Get Older", "Le Schpountz", "Road Closed", "I's So Bad" aux allures de Cramps, "Where Is The Party", l'instrumental "Without Annie"...et tout le reste.
Tout cela donne un album costaud, solide et doté de morceaux déja accrocheurs, dans un style qui certes privilégie le punk-rock mais qui décline celui-ci à la sauce Thugs, de manière variée et inventive.
On sent que les Angevins, en poursuivant sur cette voie et en peaufinant leur musique et leur son, peuvent arriver à quelque chose de grand et prendre le leadership d'une scène française peu fournie à cette époque.
Bon 15/20
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