King Crimson
Thrak |
Label :
DGM |
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Après trois hurlements new-wave metallo jazz punk free déglinguée, l'hydre se rendort pour 10 ans...puis revient en 1994, plus menaçante, plus forte avec ses deux membres en plus (une batterie et une basse), encore plus abrupte et puissante.
Massif, musculeux, ample à la musicalité forte et riche et résolument moderne : le son de King Crimson est résolument inscrit (et dépasse même) dans le son du rock des années 1990 : guitares acérées production rêche mais précise, arrangements cybers indus proche de Tool (qui se considère publiquement comme héritier du Trône)...
Ce cantique sidérurgique s'ouvre sur un introït incandescent ("VROOOM" + "Coda: Marine 475"), avant de proposer des tubes ultimes dans leurs genres ("Dinosaur", "Walking On Air", "Sex Sleep Eat Drink Dream"), des improvisation menaçantes ("B'boom", "Thrakk"), des ballades urbaines ("Inner People" 1 et 2, "One Time") et une finale devastatrice ("VROOOM VROOOM" et "VROOOM VROOOM: coda") ...
Et surtout quelle atmosphère ! Industrielle, noire, poisseuse, tout en restant élégante, la double section rythmique souligne plus encore la dichotomie mélodique pour créer une musique profondément déstabilisante, tétanisante, au chant fragile (et remarquable d'Adrian BELEW), et finalement offrir un des tout tout meilleurs albums de King Crimson !
A voir absolument : le DVD "déjà Vrooom" de la tournée du double trio : scotchant !!!
Massif, musculeux, ample à la musicalité forte et riche et résolument moderne : le son de King Crimson est résolument inscrit (et dépasse même) dans le son du rock des années 1990 : guitares acérées production rêche mais précise, arrangements cybers indus proche de Tool (qui se considère publiquement comme héritier du Trône)...
Ce cantique sidérurgique s'ouvre sur un introït incandescent ("VROOOM" + "Coda: Marine 475"), avant de proposer des tubes ultimes dans leurs genres ("Dinosaur", "Walking On Air", "Sex Sleep Eat Drink Dream"), des improvisation menaçantes ("B'boom", "Thrakk"), des ballades urbaines ("Inner People" 1 et 2, "One Time") et une finale devastatrice ("VROOOM VROOOM" et "VROOOM VROOOM: coda") ...
Et surtout quelle atmosphère ! Industrielle, noire, poisseuse, tout en restant élégante, la double section rythmique souligne plus encore la dichotomie mélodique pour créer une musique profondément déstabilisante, tétanisante, au chant fragile (et remarquable d'Adrian BELEW), et finalement offrir un des tout tout meilleurs albums de King Crimson !
A voir absolument : le DVD "déjà Vrooom" de la tournée du double trio : scotchant !!!
Exceptionnel ! ! 19/20 | par Lolive |
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