22 Pistepirkko
Laval [6 Par 4] - dimanche 04 mai 2008 |
18 H 00, ouverture des portes. Située dans la rue du Vieux Saint-Louis, aux abords d'une Mayenne aussi calme que la préfecture mayennaise que la rivière traversait par un dimanche presque estival, la salle du 6 Par 4, inaugurée au mois de février de la même année, s'emplit peu à peu d'une ambiance conviviale.
L'apparition de PK Keränen seul, coiffé d'un chapeau melon, atténua peu à peu le brouhaha jusqu'au silence pour débuter avec "Coffee Girl". Les deux autres acolytes le rejoignirent après pour une version plus en blues de "Don't Say I'm so Evil", ce qui ne fut pas pour déplaire à certains qui n'étaient pas en découverte du groupe finlandais qui assura, ce soir, un répertoire entre anciens et nouveaux morceaux. Les titres de Eleven et Rally Of Love furent aux abonnés absents. Ainsi, on pu jubiler au passage de synthé tourbillonnant du très bon bluesy et entraînant "Texacoson", on pu avoir un "Birdy" au refrain rythmé jazz et gentiment pataud. On pu découvrir "Angoulême 2036" où la guitare (instrument accusant quelquefois une agression perçant des tympans à certains moments de la soirée) ne fut pas sans rappeler une effluve mélodique de "Gimme Some Water". On pu entonner un (Goooo!)"Frankestein" de derrière les fagots et la foule apprécia la maîtrise du groupe grâce, en plus, à la veillance d'Asko Keränen pour le break qui maquilla le petit incident technique assez courant dans tous les concerts (cassage de corde à la guitare) ; le ramonien "Not So Good At School" se relança sous une ovation admirative. Le réservé Espe laissa un temps son maraca et sa baguette pour quitter un moment sa batterie et chanter sur un morceau, non sans montré de l'humour. "Don't Try To Tease Me", servit de calme après la bonne tempête embrûmée de "Refrain From The Refrain", avec un Asko déchaîné sur sa basse.
Sans aucune playlist apparente sur la scène, on put croire que le groupe choisissait les morceaux à jouer au fur et à mesure, sans aucun souci, pour leur plaisir et pour le nôtre.
L'apparition de PK Keränen seul, coiffé d'un chapeau melon, atténua peu à peu le brouhaha jusqu'au silence pour débuter avec "Coffee Girl". Les deux autres acolytes le rejoignirent après pour une version plus en blues de "Don't Say I'm so Evil", ce qui ne fut pas pour déplaire à certains qui n'étaient pas en découverte du groupe finlandais qui assura, ce soir, un répertoire entre anciens et nouveaux morceaux. Les titres de Eleven et Rally Of Love furent aux abonnés absents. Ainsi, on pu jubiler au passage de synthé tourbillonnant du très bon bluesy et entraînant "Texacoson", on pu avoir un "Birdy" au refrain rythmé jazz et gentiment pataud. On pu découvrir "Angoulême 2036" où la guitare (instrument accusant quelquefois une agression perçant des tympans à certains moments de la soirée) ne fut pas sans rappeler une effluve mélodique de "Gimme Some Water". On pu entonner un (Goooo!)"Frankestein" de derrière les fagots et la foule apprécia la maîtrise du groupe grâce, en plus, à la veillance d'Asko Keränen pour le break qui maquilla le petit incident technique assez courant dans tous les concerts (cassage de corde à la guitare) ; le ramonien "Not So Good At School" se relança sous une ovation admirative. Le réservé Espe laissa un temps son maraca et sa baguette pour quitter un moment sa batterie et chanter sur un morceau, non sans montré de l'humour. "Don't Try To Tease Me", servit de calme après la bonne tempête embrûmée de "Refrain From The Refrain", avec un Asko déchaîné sur sa basse.
Sans aucune playlist apparente sur la scène, on put croire que le groupe choisissait les morceaux à jouer au fur et à mesure, sans aucun souci, pour leur plaisir et pour le nôtre.
Parfait 17/20 | par Pascha |
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