Goldfrapp
Supernature |
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Troisième opus surprenant pour Goldfrapp, que l'on doit à la collaboration de Will Gregory et Alison Goldfrapp.
De part ses mélodies efficaces et ses sonorités, celui-ci nous renvoie à toute une époque galm-psychédélique des années 70 paillettées. La voix d'Alison n'a jamais été aussi sexy, le synthé de Will n'a pas fini de nous surprendre de part sa subtilité, ce qui ne sera pas pour déplaire aux amateurs de sons sophistiqués.
Difficile de résister aux charmes de "Ooh la la", "Number 1", "Let It Take You", ou encore de l'amusant "Satin Chic".
A emprunter, à écouter, à acheter, et à réécouter. Album tellement hétérogène, qu'il est presque impossible qu'aucun morceau ne vous plaisent !
De part ses mélodies efficaces et ses sonorités, celui-ci nous renvoie à toute une époque galm-psychédélique des années 70 paillettées. La voix d'Alison n'a jamais été aussi sexy, le synthé de Will n'a pas fini de nous surprendre de part sa subtilité, ce qui ne sera pas pour déplaire aux amateurs de sons sophistiqués.
Difficile de résister aux charmes de "Ooh la la", "Number 1", "Let It Take You", ou encore de l'amusant "Satin Chic".
A emprunter, à écouter, à acheter, et à réécouter. Album tellement hétérogène, qu'il est presque impossible qu'aucun morceau ne vous plaisent !
Très bon 16/20 | par Speciale_K |
Edition limitée à la sortie incluant un DVD bonus.
Posté le 23 mars 2008 à 20 h 27 |
Cinq ans après l'excellent Felt Mountain et deux ans après le plus pop et agressif Black Cherry, Goldfrapp sort un troisième et mauvais Supernature...
On est très loin de l'incroyable ambiance de l'aérien Felt Mountain. En effet, au fil du temps, Goldfrapp a remplacé ces sonorités particulières qui nous faisaient voyager et apprécier chaque chanson si riche et originale pour basculer dans un electro plus dance-floor, agressif et assez plat.
Si Black Cherry commençait à battre de l'aile, Supernature s'écrase violemment par terre. Fade, répétitif, ordinaire, on a le sentiment désagréable d'écouter la même chanson. La pilule est d'autant plus difficile à avaler que c'est un son agressif, désagréable et un peu brouillon, une sorte d'incursion dans le Big Beat assez ratée. On peut éventuellement relever deux chansons qui s'écartent de la monotonie et du brouhaha général : "Let It Take You" rappelle vaguement le style du début de Goldfrapp, mais cette chanson reste assez ennuyeuse et manque de quelque chose. Ou encore "Time Out From the World" qui cette fois se rapproche bien plus de l'excellent "Felt Mountain".
C'est pourtant insuffisant pour relever ce troisième opus qui pique du nez. Alors que l'on jugeait le premier album trop court, celui-ci qui a plus ou moins la même durée, paraît tellement long. Il est difficile et frustrant de se dire qu'après un premier album si parfait, on peut chuter ainsi.
S'il faut se rappeler de Goldfrapp, il est inutile et mal venu de prendre en compte ce troisième album. Ne dépensez pas un kopek, ni 40 minutes de votre temps pour tenter de sauver quelque chose dans ce disque. C'est un combat perdu d'avance.
On est très loin de l'incroyable ambiance de l'aérien Felt Mountain. En effet, au fil du temps, Goldfrapp a remplacé ces sonorités particulières qui nous faisaient voyager et apprécier chaque chanson si riche et originale pour basculer dans un electro plus dance-floor, agressif et assez plat.
Si Black Cherry commençait à battre de l'aile, Supernature s'écrase violemment par terre. Fade, répétitif, ordinaire, on a le sentiment désagréable d'écouter la même chanson. La pilule est d'autant plus difficile à avaler que c'est un son agressif, désagréable et un peu brouillon, une sorte d'incursion dans le Big Beat assez ratée. On peut éventuellement relever deux chansons qui s'écartent de la monotonie et du brouhaha général : "Let It Take You" rappelle vaguement le style du début de Goldfrapp, mais cette chanson reste assez ennuyeuse et manque de quelque chose. Ou encore "Time Out From the World" qui cette fois se rapproche bien plus de l'excellent "Felt Mountain".
C'est pourtant insuffisant pour relever ce troisième opus qui pique du nez. Alors que l'on jugeait le premier album trop court, celui-ci qui a plus ou moins la même durée, paraît tellement long. Il est difficile et frustrant de se dire qu'après un premier album si parfait, on peut chuter ainsi.
S'il faut se rappeler de Goldfrapp, il est inutile et mal venu de prendre en compte ce troisième album. Ne dépensez pas un kopek, ni 40 minutes de votre temps pour tenter de sauver quelque chose dans ce disque. C'est un combat perdu d'avance.
Nul 3/20
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