Agoraphobic Nosebleed

Si, par un heureux hasard, je devais initier les courbes avantageuses d'une douce pucelle aux plaisirs délicats qui sont miens et si, qui plus est, son chaste désir de partager mes goûts raffinés se doublait d'un tendre amour pour ma personne, peut-être débuterais-je son initiation par Agorapocalypse. En effet, quoi de plus barbare que la Power Violence d'Agoraphobic Nosebleed pour sceller une belle romance ? Une démonstration concrète valant toujours mieux que de longs discours, je saurai en trente minutes conquérir la belle et me l'attacher à jamais. L'assaut bestial de "Hung From The Rising Sun" aura raison de sa pudeur, son appétit de moineau effrayé bien vite réveillé par un "Flamingo Snuff" échevelé.
Si la demoiselle n'en redemande pas d'elle-même, il lui faudra alors subir les derniers outrages des riffs maladifs de "Question Of Integrity" ou "Trauma Queen", qui sont l'équivalent musical d'un fist-fucking anal. Son admiration sera alors sans limites et c'est main dans la main que nous poursuivrons son chemin initiatique vers toujours plus d'abjection et d'ignominie. Merci Scott Hull.