[candide] Mais en fait .. "qu'est-ce qu'on en a à foutre" de quoi ? [/candide]


non parceque personne n'a répondu a ma question au fait ..

Non

Moi aussi j'en ai rien à foutre mais le pire c'est que j'en ai rien à foutre d'en avoir rien à foutre parce que je suis fou! ( Albert!!)

En fait ce disque est une brochette, bien courte quant au support virtuel, de jolies chansonnetttes popisantes qui ne boulversera pas l'ordre des choses

je trouve ça trés jouli, MAIS...

Première écoute ce matin et très agréable surprise.

Première écoute hier soir... et très agréablement surpris par les 2 premiers morceaux même si fort ressemblant à ce qu'on connaissait déjà d'eux avant.... le reste je sais plus je me suis endormi

7 jours après je n'ai toujours pas écouté un morceau de cet album

je pourrai l'avoir pour 1 € si j'ai bien suivit

mais non

étrange

je me méfiais et je me rends compte en vous lisant que j'ai peut-être eu raison ...

mentez-moi dites-moi que c'est génial svp

Tu te méfies pour quoi ? pour la qualité du disque ?
si c'est ça tu peux y aller c'est de la bonne

"Gigwise has learnt that Radiohead have sold an amazing 1.2million copies of their seventh album ‘In Rainbows.' "


Sachant qu'un tiers n'a rien payé... reste donc 800.000 copies... Le prix moyen dépensé = 5.94 livres par téléchargement...

Cela fait donc 4.752.000 de livres.... Soit 6.810.277 euros .... directement dans leurs poches... puisque pas de maison de disque à payer ni réseaux de distribution...

Pas mal... pour une action désintéressée...

Mais qui parle d'action désintéressée ????
Radiohead a travaillé presque 2 ans pour cet album.
Une raison pour qu'ils ne soient pas payés pour ce travail ???

Visiblement cela dérange beaucoup de monde qu'un travail d'artiste soit rémunéré, et bien.

Et que tout le fric aille entièrement dans leur poche au lieu qu'une grosse maison de disque qui ne mise que sur des valeurs sures n'en prenne X% au passage, ça gène aussi visiblement...

Fait'che

Moi je suis bien contente pour eux

Mange un sucre Shiboome....

C'est juste une constatation que je fais.... que ca paie bien d'envoyer chier l'industrie du disque quand on s'appelle radiohead et je te rassure tout de suite je n'ai strictement rien contre...

Mais bon, faut qd même dire que c'est bien beau tout ça mais tous les groupes ne peuvent pas se permettrent ce genre de démarche commerciale..................................
....................
qui est qd même un fameux coup marketing... Et je te re-rassure, je n'ai strictement rien contre... je constate c'est tout..

Je sais, je suis hypoglycémique, je manque de sucre dans le sang...
Oui c'est un bon coup marketing. Ces mecs sont des bons musiciens et en plus ils ont pleins d'idées pour vendre leur musique...
Alors constate mon amis, constate...
PS : j'aime bien tes chats ...

Merci du compliment

Et au final on est d'accord, Radiohead ets un excellent groupe (peut être le meilleurs de sa génération) qui a toujours de bonnes idées pour se démarquer des autres groupes...


quoi qu'il ne sont pas les premiers à envoyer chier l'industrie du disque... et pour preuve:

"Les musiciens ont-ils
encore besoins des majors?

La chanteuse Madonna et le promoteur de concerts américain Live Nation ont confirmé mardi avoir conclu un partenariat "sans précédent" portant sur toutes les activités artistiques de la star, évalué à 120 millions de dollars sur dix ans par la presse américaine. "Le modèle de l'industrie musicale a changé et en tant qu'artiste et femme d'affaires, je dois accompagner ce changement", a affirmé Madonna. Ce type de contrat, surnommé "360 degrés", est censé permettre aux entreprises musicales de rationaliser au maximum l'exploitation commerciale d'un artiste. Warner Music, durement frappée par la crise du disque, ne pouvait pas renchérir pour garder Madonna, entrée dans la maison à ses débuts en 1984, précise Michael Savner, analyste à la Bank of America.

L'annonce s'inscrit dans une série d'initiatives récentes signalant des changements en profondeur des rapports entre artistes et maisons de disques, parallèlement au développement de la musique numérique. Les ventes mondiales de musique se sont effondrées de plus de 20% en valeur depuis 2000, ce que l'industrie attribue au téléchargement pirate. A la recherche d'un nouveau modèle économique, certains artistes se sont lancés dans des expériences originales, comme le groupe rock britannique d'avant-garde Radiohead qui a mis en vente son dernier album, "In Rainbows" sur Internet la semaine dernière, mais laissant aux acheteurs le choix du prix. Avant eux, Prince a distribué gratuitement son dernier album avec un journal britannique. Un peu plus tôt, Paul McCartney quittait EMI pour Hear Music, tout jeune label lancé par la chaîne des cafés Starbucks. Les Eagles, eux, sortent en solo leur prochain album, "Long Road Out of Eden". Quant à Trent Reznor, du groupe Nine Inch Nails, il exulte sur son site Web de se retrouver "libre de tout contrat d'enregistrement avec une maison de disques quelconque". Dans le même temps, Internet permet aussi à des aspirants musiciens de se faire connaître, de vendre leur musique sans être coachés par une maison de disques.

Les majors tiennent bon

Cette stratégie ne fait pas les affaires des "majors" qui pour s'adapter tentent de signer des contrats allant au-delà des albums, incluant les ventes de billets de concert, T-shirts, etc. Mais les nouveaux groupes visant le haut de l'affiche ont encore besoin des moyens sans égal des majors en matière de promotion, marketing, distribution. Quant aux grands noms du rock, ils ne sont pas non plus près à s'affranchir si facilement des poids lourds du disque. Célèbre pour s'être gribouillé le mot "esclave" sur la joue pendant son bras-de-fer avec Warner Records au début des années 90, cela fait dix ans que Prince sort sa musique en ligne. Mais il signe tout de même des contrats de distribution et marketing avec différentes maisons de disques pour que ses albums se vendent aussi en magasin. En ce qui concerne Madonna, Live Nation devrait sans doute signer avec une maison de disques établie pour gérer la promotion et la vente en magasin de ses futurs albums.

Metro 18/10/2007 "

Sauf que tout ceux qui s'en vont des majors, n'auraient jamais pu avoir cette célébrité sans elles.