Forum =Beck=
Posté le 22 octobre 2010 à 15 h 22m 02s |
Remarquez qu'il y a pire : les reprises au didjeridoo
Posté le 22 octobre 2010 à 15 h 23m 35s |
C'est le seul moyen de masquer son manque d'inventivité et de technique!!!
putain c'est quoi le nom du mec que je cherche là, l'autre navet blondinet et ses barrettes à cheveux!
Posté le 22 octobre 2010 à 15 h 24m 40s |
nan mais il jouait du yuku et il était roux, j'ai pris ça comme une expérience à ne pas laisser passer ! Le truc unique dans une vie ! (ça c'est mal fini cela dit...)
Posté le 22 octobre 2010 à 15 h 25m 59s |
Vous pensez quoi du oud ?
Parce que ça fait un an que j'aimerais trop en avoir un !!
Posté le 22 octobre 2010 à 15 h 30m 30s |
Tu te mouches pas du oud toi !
Posté le 22 octobre 2010 à 15 h 33m 06s |
C'est encore une contrepèterie?
Posté le 22 octobre 2010 à 15 h 35m 34s |
Ben non, tu connais pas l'expression se moucher du coude ?
Posté le 22 octobre 2010 à 15 h 36m 01s |
Non
Posté le 22 octobre 2010 à 15 h 43m 29s |
ça doit être un régionalisme alors...
Posté le 22 octobre 2010 à 15 h 51m 53s |
"Ne pas se moucher du pied (du coude) "
Se croire quelqu'un d'important.
Avoir de grandes prétentions.
Au XVIe siècle, quelqu'un qu'on "mouchait du pied" était quelqu'un qu'on bernait facilement. Donc un niais, assimilé à une chandelle qu'on aurait pu 'moucher' (ou éteindre) sans même avoir besoin d'y mettre la main.
Le verbe 'moucher' y avait d'ailleurs aussi le sens de 'tromper' ou 'séduire avec des arguments trompeurs'.
C'est à partir du XVIIe siècle que la signification a évolué.
A cette époque, les saltimbanques (donc des gens de basse classe) pouvaient, dans la rue et grâce à leur souplesse, se contorsionner et se passer le pied sous le nez, comme s'ils se mouchaient avec.
Par comparaison, les gens de la haute ne risquaient pas de se moucher du pied.
A cette époque également, beaucoup de personnes de condition modeste avaient l'habitude de se moucher sur leur manche et quelqu'un qui se mouchait de la manche ou du coude était un malappris, aisément reperé par les taches vertes et gluantes sur son bras.
Par contre l'élite de la société utilisait un mouchoir et n'avait donc aucun besoin de se moucher du coude.
Ces deux variantes de l'expression permettaient de bien différencier la piétaille de l'aristocratie.
Cette locution, dans sa forme négative, est petit à petit devenue ironique, pour désigner des gens imbus d'eux-mêmes, prétentieux, qui affichent de grands airs ou qui tentent de se faire passer pour des personnes raffinées, aisées ou intelligentes.
Bah merci, c'est pô gentil ton truc !
Posté le 22 octobre 2010 à 15 h 53m 58s |
Mais c'était pour le jeux de mot : "se moucher du oud" !
j'voulais pas être désagréable Nova voyons...
Posté le 22 octobre 2010 à 15 h 56m 29s |
Mais je sais, j'disais ça pour bouder!
Posté le 22 octobre 2010 à 16 h 07m 47s |
arch ! les femmeuh !
Posté le 22 octobre 2010 à 16 h 16m 12s |
Arno, pas mal ton histoire de reprises de Téléphone à l'ukulélé.
Serait-ce le symbole incarné de l'infamie la plus complète?
Seul mon vomi peut le confirmer de toutes ses couleurs.
Posté le 22 octobre 2010 à 16 h 31m 45s |
Putain Arno, ton avatar !!! mais aussi