Forum =Joy Division=
Posté le 30 janvier 2009 à 09 h 32m 45s |
Moi je sais ce que je vais aller voir ce week-end au ciné:
http://www.evene.fr/cinema/films/joy-division-16169.php?video
Posté le 30 janvier 2009 à 13 h 43m 12s |
Pareil d'ailleurs j'y vais dans 1h30 hihi
Posté le 30 janvier 2009 à 13 h 44m 22s |
Zut il passe pas "encore" à Lille
Posté le 30 janvier 2009 à 13 h 45m 39s |
Sympa ce docu, il est passé y a pas longtemps en One Week Only sur Pitchfork TV. Ya des interviews d'un peu tout le monde.
Posté le 30 janvier 2009 à 19 h 07m 26s |
Et tu nous a même rien dit, UpToTheSkies ??? Faut partager, mon gars...
Posté le 30 janvier 2009 à 19 h 12m 18s |
Toutes mes excuses.
Posté le 30 janvier 2009 à 19 h 20m 19s |
Projeté dans moins de 10 salles en France... C'est dans ce genre de situation qu'on apprécie de vivre en région parisienne!
Vive le MK2 beaubourg (j'y avais déjà vu le docu sur Kurt Cobain il y a 2 mois)
Posté le 30 janvier 2009 à 20 h 08m 07s |
Ca se télécharge en 37min également, encore plus pratique que la région parisienne.
Posté le 30 janvier 2009 à 21 h 04m 01s |
Ouais mais c'est pas soustitré, si?
Posté le 01 mars 2009 à 02 h 07m 50s |
Un petit teaser du film (docu..!) Joy Division pour ceux que ça peut intéresser:Joy Division
De Grant Gee - 2009
Avec
* Ian Curtis
* Peter Hook
* Bernard Sumner
Montage habile d'interviews et d'images d'archives autour du groupe phare du post-punk.
Créé le
26 janvier 2009
Après la fiction sur Ian Curtis, voici Joy Division, un documentaire de facture relativement classique sur un groupe qui ne l'était pas (puis l'est devenu), récit chronologique d'une fulgurante aventure de quatre années et deux albums qui changèrent le rock sur tous les plans – musical, gestuel, visuel, existentiel.
Le réalisateur Grant Gee, fan de la première heure, opère selon la méthode éprouvée faisant alterner montage d'entretiens et images d'archives, dont certaines inédites. Pour tous ceux qui vécurent en direct cette période charnière du rock, voir défiler ici les membres du groupe, mais aussi des figures telles que le businessman Tony Wilson, le designer Peter Saville ou le producteur Martin Hannett, fait l'effet d'un banquet de fondantes madeleines. Le film déroule impeccablement l'histoire du groupe mais fait bien ressortir aussi ce qui faisait sa singularité : le son froidement métallique avec la basse en avant, le design élégant et laconique des pochettes et affiches, le look fragile et hautain, les textes violemment désespérés, la voix sépulcrale de son chanteur.
Les anecdotes fourmillent sur la somme de hasards qui finissent par cristalliser selon une mystérieuse magie pour aboutir à l'étoffe dont on fait les mythes – par exemple, comment une mauvaise balance a permis d'"inventer" le son Joy Division avec la basse prééminente. Le film note aussi comment Joy Division fut l'émanation de l'ouvrière Manchester et des années de montée de notre crise de civilisation.
Ian Curtis était bien sûr le point focal du groupe : gringalet au regard intense, personnalité schizo, doux et songeur le jour, écorché et énervé la nuit (ou le contraire), qui réinventa tout sans en avoir pleinement conscience. Toutes les images de Curtis, qu'elles soient fixes ou animées, constituent les passages les plus bouleversants de ce documentaire. Dès qu'il apparaît, le film devient électrique, diffuse un sombre et douloureux halo.
Par contraste, voir Hook ou Sumner raconter placidement leurs souvenirs du bon vieux temps démythifie un peu toute la ténébreuse aura du groupe. Ian Curtis croyait tellement au rock qu'il y a laissé sa peau, alors que ses compagnons, plus distants, moins ravagés, ont débonnairement vieilli. Eternelle histoire que raconte ce film, prouvant que Joy Division était un groupe unique par son style mais semblable à tous les autres dans sa dimension humaine.
Posté le 15 avril 2009 à 23 h 32m 38s |
Après avoir été honteusement mis en vente à 33 eur dans les bacs de la fnac il y a quelques petits mois ... j'ai chopé là bas le dvd bradé maintenant à 10 eur .... bon c'est pas sous titré, mais il suffit de tendre l'oreille ... à bon entendeur.
Posté le 15 avril 2009 à 23 h 48m 57s |
Ah bon, parce que à 33€, c'était sous-titré?
Posté le 16 avril 2009 à 00 h 03m 42s |
Non je parle du même dvd 17 seconds. Donc pas sous titré, il n'y a pas d'édition pour la france, juste pour le royaume uni.
Posté le 16 avril 2009 à 10 h 31m 00s |
Il y avait aussi des choses intéressantes dans les bonus du DVD de 24 Hour Party People même si ce dernier traitait plus largement de Factory et de leur gestion surréaliste.