Alec Empire
Marmande [Garorock - Scène Dickies] - samedi 07 avril 2007 |
Il y a un an, Alec Empire était peut-être l'un des personnages les plus arrogants qui soit dans le monde du rock dans son sens large, délaissant peut-être quelque peu (allègrement ?) sa musique au profit de choses bien peu réjouissantes telles que son apparence et sa volonté à apparaître peu respectueux de son public. Ca, c'était donc le Alec de Rennes (et de toute sa dernière tournée d'ailleurs) une année plus tôt.
Mais revoilà notre ancien Atari Teenage Riot, plus classe que jamais au festival Garorock de Marmande, tout de noir vêtu, le pied posé comme souvent sur son retour, et surtout, ayant enfin décidé de ne plus se ridiculiser en apparaissant torse nu telle une pseudo-rock star peu scrupuleuse.
Ce n'est plus que le personnage ne soit plus arrogant, non, mais tout au moins, voilà que celui-ci semble finalement avoir décider de se mettre au service de ce qui nous intéresse vraiment ce soir: son mélange tonitruant d'hardcore-electro-indus.
Voilà donc Alec Empire qui termine donc cette seconde soirée de la scène Dickies avec un rock débridé porté par un son poussé à l'extrême. Aucun répit durant ce set: Alec hurle et exhulte comme à son habitude, plaque ses accords avec une énergie et une ferveur qui semblaient l'avoir quitté quelques mois auparavant, et en quelques minutes, il est évident que le concert que nous offre l'Américain de très haute teneur !
Le voilà le Alec Empire qui nous manquait: celui qui file droit devant, ne se pose aucune question, enchaîne plans ultra-violents et breaks tranchants...
Se pourrait-ce qu'il y ait encore quelque chose à tirer de l'un des hommes les plus égocentriques qui soient ?
Mais revoilà notre ancien Atari Teenage Riot, plus classe que jamais au festival Garorock de Marmande, tout de noir vêtu, le pied posé comme souvent sur son retour, et surtout, ayant enfin décidé de ne plus se ridiculiser en apparaissant torse nu telle une pseudo-rock star peu scrupuleuse.
Ce n'est plus que le personnage ne soit plus arrogant, non, mais tout au moins, voilà que celui-ci semble finalement avoir décider de se mettre au service de ce qui nous intéresse vraiment ce soir: son mélange tonitruant d'hardcore-electro-indus.
Voilà donc Alec Empire qui termine donc cette seconde soirée de la scène Dickies avec un rock débridé porté par un son poussé à l'extrême. Aucun répit durant ce set: Alec hurle et exhulte comme à son habitude, plaque ses accords avec une énergie et une ferveur qui semblaient l'avoir quitté quelques mois auparavant, et en quelques minutes, il est évident que le concert que nous offre l'Américain de très haute teneur !
Le voilà le Alec Empire qui nous manquait: celui qui file droit devant, ne se pose aucune question, enchaîne plans ultra-violents et breaks tranchants...
Se pourrait-ce qu'il y ait encore quelque chose à tirer de l'un des hommes les plus égocentriques qui soient ?
Bon 15/20 | par X_Jpbowersock |
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