Shearwater
Palo Santo |
Label :
Fargo |
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Shearwater c'est l'à coté folk d'Okkervil River.
Winged Life était un petit bijou une leçon de sonorisation et de fusion chant musique, Thieves qui contenait quelques chansons fabuleuses n'a pas pu contenter pleinement ceux qui étaient tombés sous le charme du groupe, Palo Santo apporte une réponse franche et définitive: Shearwater est appelé à devenir légendaire tant il tutoie actuellement les sommets.
Pour la première fois Jonathan Meiburg se retrouve seul au chant. Sa voix est proche de la perfection, haute magifique sans tomber dans la grandiloquence de castrat ou peut conduire ce type de chant particulier. Après une première chanson au titre en Français "La Dame Et La Licorne", les perles s'enchaînent. Le rêve s'installe, les comparaisons les plus folles apparaissent: des arômes de Talk talk (période Laughing Stock), un disque ou chaque titre ne serai constitué que de chansons comme on en sortirait qu'une fois dans sa vie... Du rarement entendu! Bien sur ce disque n'est pas festif mais ce ne sont pas des ballades suicidaires non plus. "Seventy Four Seventy Five" pourrait largement faire un hit. La voix et l'orchestration ne font plus qu'un, les émotions nous submerge.
Sublime et tout simplement beau. Un des albums de l'année si ce n'est pas plus! Pas mal pour un à côté. On attend avec impatience la réponse d'Okkervil River.
Winged Life était un petit bijou une leçon de sonorisation et de fusion chant musique, Thieves qui contenait quelques chansons fabuleuses n'a pas pu contenter pleinement ceux qui étaient tombés sous le charme du groupe, Palo Santo apporte une réponse franche et définitive: Shearwater est appelé à devenir légendaire tant il tutoie actuellement les sommets.
Pour la première fois Jonathan Meiburg se retrouve seul au chant. Sa voix est proche de la perfection, haute magifique sans tomber dans la grandiloquence de castrat ou peut conduire ce type de chant particulier. Après une première chanson au titre en Français "La Dame Et La Licorne", les perles s'enchaînent. Le rêve s'installe, les comparaisons les plus folles apparaissent: des arômes de Talk talk (période Laughing Stock), un disque ou chaque titre ne serai constitué que de chansons comme on en sortirait qu'une fois dans sa vie... Du rarement entendu! Bien sur ce disque n'est pas festif mais ce ne sont pas des ballades suicidaires non plus. "Seventy Four Seventy Five" pourrait largement faire un hit. La voix et l'orchestration ne font plus qu'un, les émotions nous submerge.
Sublime et tout simplement beau. Un des albums de l'année si ce n'est pas plus! Pas mal pour un à côté. On attend avec impatience la réponse d'Okkervil River.
Parfait 17/20 | par Mozz |
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