10.000 Maniacs
Love Among The Ruins |
Label :
Geffen |
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Si c'est grâce à Natalie Merchant, membre fondatrice du groupe, que je me suis mis à écouter les 10.000 Maniacs, il faut noter qu'en 1997 le groupe a changé de formation et Natalie vole maintenant de ses propres ailes en solo dans une carrière plutôt bien réussi. Sa remplaçante au chant, Mary Ramsey, à une voix tout aussi remarquable, époustouflante, belle douce et forte à la fois. Les comparaisons s'arrêteront là, car ancienne ou nouvelle formation c'est du bon à tous les niveaux.
Certains regretteront peut être que cet album soit moins engagé que les précédents mais les chansons sont très plaisante et entraînante avec toujours un charme un peu rétro. Toujours doux et mélodique, Love Among The Ruins est une évasion musicale qui, pour reprendre une image souvent utilisée, est idéale pour les jours de pluie. L'ensemble est très cohérent, peu de titres qui se détachent réellement mais aucun non plus n'est inutile. J'accorderais tout de même une préférence à des titres comme "Rainy Day" (tiens donc..), "Green Children" ou "Shining Light". Le mieux reste de l'écouter d'une traite pour pouvoir apprécier pleinement toutes ces qualités. Les textes sont souvent remplis d'espoir mais l'émotion est si palpable qu'il n'est pas forcément nécessaire de les comprendre pour apprécier ce disque incroyablement touchant qui mérite largement d'être redécouvert. Il y a des disques dont on ne se lasse pas, on vit avec sans doute pour longtemps encore, Love Among The Ruins est de ceux-là.
Certains regretteront peut être que cet album soit moins engagé que les précédents mais les chansons sont très plaisante et entraînante avec toujours un charme un peu rétro. Toujours doux et mélodique, Love Among The Ruins est une évasion musicale qui, pour reprendre une image souvent utilisée, est idéale pour les jours de pluie. L'ensemble est très cohérent, peu de titres qui se détachent réellement mais aucun non plus n'est inutile. J'accorderais tout de même une préférence à des titres comme "Rainy Day" (tiens donc..), "Green Children" ou "Shining Light". Le mieux reste de l'écouter d'une traite pour pouvoir apprécier pleinement toutes ces qualités. Les textes sont souvent remplis d'espoir mais l'émotion est si palpable qu'il n'est pas forcément nécessaire de les comprendre pour apprécier ce disque incroyablement touchant qui mérite largement d'être redécouvert. Il y a des disques dont on ne se lasse pas, on vit avec sans doute pour longtemps encore, Love Among The Ruins est de ceux-là.
Très bon 16/20 | par Mozz |
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