MellaNoisEscape
Paris [Le Petit Bain] - jeudi 16 février 2012 |
Une barge flottante, trois niveau, une salle de concert pouvant accueillir plus de 400 personnes... Voilà où je me rends ce soir, pour découvrir le nouveau projet d'Olivier Mellano, sobrement intitulé MellaNoisEscape, nom qui ne laisse pas grand doute quant au live de ce soir, mais qui me rend tout de même bien curieux.
Bien sur je sais ce dont il est capable avec sa guitare, soutenir à lui seul le flow de Arm au sein de Psykick Lyrikah, mais là il est vraiment seul, avec sa mandoline moderne...
De nombreuses pédales à ses pieds, il frappe ses cordes, emplies de saturation de distorsion, tous ses termes nés de petits circuits imprimés qu'il gère à la perfection. Il pose sa voix par dessus ce flot sonique ininterrompu, frappant le corps de sa guitare pour marquer le rythme, pense-t-on dans un premier temps.
Puis se rapprochant, on distingue des bouts de gaffer aux endroits où il frappe sa guitare... Des capteurs ! Il ne frappe pas son instrument en cadence, il crée le rythme ! Diverses cellules pour des sons différents, rien d'enregistré comme je le croyais au départ, ce qui laisse bien évidemment une large place à l'improvisation. Par moment on en vient même à se demander s'il est bien seul, tant il réussit à créer un climat de tension, parvenant presque à recréer les explosions sonores d' A Place To Bury Strangers à la seule force de ses membres.
Il repart apparemment content,nous aussi, la terrasse un peu fraîche nous attend, tandis que Michel Cloup se prépare à nous emmener en voyage....
Bien sur je sais ce dont il est capable avec sa guitare, soutenir à lui seul le flow de Arm au sein de Psykick Lyrikah, mais là il est vraiment seul, avec sa mandoline moderne...
De nombreuses pédales à ses pieds, il frappe ses cordes, emplies de saturation de distorsion, tous ses termes nés de petits circuits imprimés qu'il gère à la perfection. Il pose sa voix par dessus ce flot sonique ininterrompu, frappant le corps de sa guitare pour marquer le rythme, pense-t-on dans un premier temps.
Puis se rapprochant, on distingue des bouts de gaffer aux endroits où il frappe sa guitare... Des capteurs ! Il ne frappe pas son instrument en cadence, il crée le rythme ! Diverses cellules pour des sons différents, rien d'enregistré comme je le croyais au départ, ce qui laisse bien évidemment une large place à l'improvisation. Par moment on en vient même à se demander s'il est bien seul, tant il réussit à créer un climat de tension, parvenant presque à recréer les explosions sonores d' A Place To Bury Strangers à la seule force de ses membres.
Il repart apparemment content,nous aussi, la terrasse un peu fraîche nous attend, tandis que Michel Cloup se prépare à nous emmener en voyage....
Très bon 16/20 | par X_Lok |
Photo tirée de http://www.metalorgie.com/photos/par-groupes/Mellanoisescape
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